C'est du moins ce que semble penser M. Barbara, affirmant durant son intervention que les émigrés qui effectuent le pèlerinage « présentent un déficit de spiritualité et de connaissance de la religion, et ne sont pas préparés à endosser ce titre de hadji ». De même, cette diaspora semble aussi souffrir de lacunes « organisationnelles », puisqu'ils « s'adressent à n'importe quelle agence de voyages, du moment qu'ils se retrouvent à Djeddah. Seulement, une fois sur place, ils ne savent pas quoi faire ' Où aller ' A qui s'adresser ' », déplore-t-il. Raison pour laquelle le directeur escompte demander au recteur de la Mosquée de Paris d'aider à leur prise en charge. « Il doit les faire encadrer par des spécialistes pour l'aspect spirituel et les entourer pour l'aspect organisationnel du pèlerinage », conclut M. Barbara.
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Posté Le : 13/10/2009
Posté par : sofiane
Ecrit par : G. L.
Source : www.elwatan.com