Comme il a raison Hakim Laâlam d'évoquer, avec son humour décapant qui se transforme parfois en récit noir, les pénibles pérégrinations des retraités à la recherche de leur dû mensuel. Je les ai accompagnés durant une année, de poste en poste, de ville en ville, racontant ici même leurs souffrances, leur désespoir, trimballé dans les poussières des étés brûlants et le froid mortel des Hauts-Plateaux. J'ai vu leur stoïcisme, leur dignité face à l'adversité. Malades, usés, ratatinés, ils ont été délaissés, oubliés et je crois qu'ils se sont bien vengés le jour... du vote !M. F.
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Posté Le : 14/07/2021
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Maâmar Farah
Source : www.lesoirdalgerie.com