Algérie

Les adieux au marché chinois



Arrivé en Chine dans les années 90, Suzuki a pourtant décidé de quitter l'Empire du Milieu. Il a revendu ses parts dans la co-entreprise Changan-Suzuki pour un yuan symbolique.Après s'être déjà désengagé de la co-entreprise BAIC-Changhe en juin, Suzuki a décidé de céder toutes ses parts dans l'autre joint-venture chinoise Changan-Suzuki, pour un yuan symbolique. Le constructeur japonais quitte ainsi le marché chinois. Il s'y était introduit en 1995. Ce spécialiste des petites voitures a, ces dernières années, eu du mal à vendre des modèles trop compacts pour la clientèle à la recherche de modèles spacieux. Avec une part de marché inférieure à 0,5%, il valait sans doute mieux arrêter les frais. Ceci dit, Changan continuera à vendre des Suzuki, désormais importées, et à assurer les réparations et l'entretien des véhicules. La marque au S va donc surtout se concentrer sur l'Inde (50% de ses ventes), le Japon, l'Asie du Sud-Est et l'Europe (8%).


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