Algérie

LEGISLATIVES



«Il est permis l'utilisation, en milieu rural, du crieur public pour la publicité des candidatures à l'élection. Les appels du crieur public se font entre neuf heures et seize heures.» (Article 9 du décret exécutif 97-72 du 15 mars 1997 fixant les modalités de publicité des candidatures)
M'hand Kasmi
En décidant, d'un trait de plume grossier et méprisant, de ne pas reprendre dans la nouvelle version du décret du 6 février 2012 fixant les modalités de publicité des candidatures aux élections législatives la champêtre disposition ci-dessus mise en exergue, les bureaucrates du ministère de l'Intérieur, chargés d'entretenir le feu sacré des joutes électorales, ont tout simplement dépouillé ces dernières de l'ultime souffle d'humanité qui continuait symboliquement à les habiter, et par endroits carrément à les ressusciter et raviver. Dame Nature ayant horreur du vide, ce sont les joyeux et espiègles personnages sous-marins de la lointaine et virtuelle mer des Sargasses qui ont été chargés par elle d'assurer la digne sépulture que méritait leur infortuné copain terrestre. Ces charmantes créatures qui ont pour noms Bob l'Eponge, Capitaine Krabs, Carlo Tentacule, Patrick L'étoile de mer et qui habitent la planète dont rêvent à longueur de journée et de nuit nos «petits princes» ont sauvé le ministère de l'Intérieur ainsi que les 25 800 candidats des législatives 2012 d'une h'chouma nationale certaine, eu égard au fiasco qu'a incontestablement connu la première semaine de la campagne électorale.
La périlleuse manœuvre d'atterrissage du vaisseau Algérie
En enterrant ainsi à la hâte cet attachant et légendaire personnage haut en couleur de la vie publique rurale traditionnelle, sans penser à lui assurer une forme de succession digne du rôle hautement civique qui fût le sien, les fonctionnaires du ministère de l'Intérieur, dûment formatés par de suspects logiciels apatrides, n'ont fait en réalité que trahir le désarroi qui les tourmente et les turlupine depuis au moins une année : de quels instruments de bord juridiques et techniques appropriés doivent-ils doter le vaisseau Algérie afin de le mettre définitivement hors de portée des turbulences d'un «Printemps arabe» qui a révélé les nombreuses avaries des radars de surveillance de ses horizons, d'une part, et d'autre part, les copieuses et vagues promesses de printemps algériens qui peinent à installer durablement leurs chatoyantes couleurs sur les plates latitudes de nos panneaux d'affichage électoraux ' Des panneaux squattés, dès les premiers jours de leur apparition, par les personnages prestement surgis de l'univers coloré et bien vivant de nos «petits princes». Pour s'aménager une aire d'atterrissage forcée dans l'étroit liséré séparant les vastes espaces occupés illégalement par ces petits «bouts de choux», les affiches des élections proclamant «officiellement » que «l'Algérie est notre printemps » et celle du parti d'Amara Benyounès qui rêve éveillé que le printemps de cette année est (déjà) algérien, l'astéroïde Algérie a failli imploser. La raison : son envergure de pays-continent largement plus vaste que le tarmac en mouchoir de poche prévu pour l'accueillir et surtout le manque de clarté politique du seul espace républicain visible du ciel. Un espace qui entretient en fin de compte une confusion de genres, pour ne pas dire de couleurs, entre une opposition toujours proche des corrupteurs pâturages du régime et un régime en mal de poésie qui se camoufle subitement sous les couleurs de l'opposition. Pire que cela : en coinçant la campagne électorale dans le réduit triangle légal limité aux seuls espaces situés entre les panneaux électoraux, les médias publics et les salles de réunion autorisées, le législateur a finalement indiqué le chemin libérateur de la salutaire harga hors des chemins et voies légales, que certains partis n'ont pas hésité à emprunter. La loi organique du 12 janvier 2012 relative au régime électoral a beau marteler que «nul ne peut, par quelque moyen que ce soit, faire campagne en dehors de la période prévue à l'article 188» (article 189) ou encore «que toute forme de publicité en dehors des emplacements réservés à cet effet (NDLR : placards) est interdite», elle n'a nullement dissuadé le ministre tête de liste FLN à Tlemcen de se réconcilier avec le wali du coin afin de réaliser une apaisée campagne, plus d'un mois avant son ouverture officielle. Ces dispositions de la loi électorale n'ont également pas empêché outre mesure les crieurs publics d'arpenter les espaces ruraux où ils continuent encore d'officier aux cérémonies majeures pour lesquelles leurs qualifications continuent d'être appréciées et reconnues : appeler plusieurs mois durant avant l'ouverture de la campagne, les citoyens futurs électeurs à venir déguster méchoui et couscous de la zerda organisée par l'ancien-futur député du coin. Ce que ne semble pas avoir compris le législateur ou qu'il ne connaît en réalité que trop, c'est que pour la plupart des députés mal élus qui nous gouvernent depuis au moins les législatives de 2002, leur campagne électorale avec berrahattitré et grassement rétribué s'achève au moment où commence celle «officielle», sevrée cette année de son ancestral crieur public. Si nous savons maintenant et depuis le début de l'actuelle campagne électorale que l'adresse idéale où rêvent de s'installer les 36 millions de citoyens algériens est située au cœur d'un ananas flottant dans les profondeurs abyssales de la mer des Sargasses, située dans un océan sans nom et dont l'illustre chef a pour nom Bob l'Eponge, nous ne connaissons par contre pas encore ni l'adresse ni le programme électoral de la demi-centaine de partis, anciens et nouveaux, qui ont aligné une véritable armée de 25 800 candidats pour investir à la hussarde les malheureux 462 sièges de la future APN.
L'orbite géostationnaire de Belkhadem
A tout seigneur, tout honneur, le responsable actuel en sursis du parti qui a libéré il y a un demi-siècle l'Algérie de la domination coloniale semble être le plus insaisissable ! Il se susurre çà et là qu'il a retrouvé en ce début de campagne électorale un aplomb politique inespéré dont il est le seul à connaître le secret. Un air de jeunesse, en somme, qui lui a permis de réaliser déjà une prouesse électorale hors du commun : commencer la campagne électorale du parti dont il assume momentanément les destinées (c'est ce qui se dit !) à Illizi, c'est-à-dire à quelques encablures de l'endroit où l'auteur du Petit Prince-Antoine de Saint Exupéry fit un atterrissage forcé à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Après avoir évité in extremis l'humiliante expulsion de ce qu'il considérait comme domicile politique éternel en raison du fait que ce gîte, devenu aujourd'hui bunker, lui a assuré depuis le siècle dernier une dévote allégeance, tantôt à ses maîtres de Khartoum, tantôt à ceux de Téhéran et depuis peu à celui d'El-Mouradia, le voilà programmé pour une mission de marketing électoral aux insondables visées. Dans ses révolutions (au sens astronomique) autour de la planète bleue, notre «empastillé» ne semble craindre que deux seuls véritables ennemis : Facebook et Twitter. Al'instar des présidents Ben Ali et Moubarak qui s'échinaient hier encore à décrocher désespérément leur pays de la Toile alors que le torrent qui devait les emporter déversait déjà ses vagues humaines triomphantes sur l'avenue Habib-Bourguiba à Tunis et place Tahrir au Caire, le tout-puissant SG du FLN, désormais auto-installé en orbite géostationnaire au-dessus du fauteuil présidentiel, vient de se fendre à Mascara d'une attendrissante et décalée déclaration appelant «les jeunes à se dresser contre les usagers de Facebook qui incitent au soulèvement populaire». Cela rappelle étrangement la succulente et croustillante blague que s'échangeaient les Algériens dans les années de plomb où la dictature du parti unique de Belkhadem n'hésitait pas à se faire fièrement l'écho de la dernière motion arrivée au siège du parti : «La kasma de Oued Amizour condamne avec la plus haute véhémence l'impérialisme américain !» En continuant à se trouver encore autant d'«ennemis à l'extérieur» infiltrés dans tous les moulins à vent d'Internet que d'ennemis intérieurs au sein du parti, notre Don Quichotte national ne sait pas que depuis qu'il a coupé les lignes téléphoniques du siège du parti de Hydra, pour empêcher l'ennemi intérieur de faire jonction stratégique avec les frères extérieurs, «intérieur et extérieur» ne font plus qu'un, au pays virtuel de Belkhadem. A un paisible citoyen de l'extérieur réquisitionné pour garnir hypocritement de l'intérieur la salle de son premier meeting électoral à Illizi et qui eut la naïve sincérité de lui faire remarquer tout haut qu'il n'avait rien vu des 7 500 milliards de centimes que l'Etat avait consacrés (selon Belkhadem) à la wilaya, l'empastillé lâcha, hautain et dédaigneux : «Ça viendra un jour» ! Pour éviter ce type d'interpellation et en l'absence de militants pour applaudir ses envolées lyriques et ses fetwas, l'enturbanné à la soudanaise, Si Abdelaziz, opta quelques jours plus tard à Chlef pour la méthode radicale, vider tout simplement un lycée de ses candides étudiants et étudiantes pour venir l'écouter religieusement et sous le ronronnement apaisant de la caméra de l'Unique.
Amara Benyounes : de la galaxie Gutenberg à la galaxie Nessma
Contrairement à Belkhadem qui fait du nombrilisme politique de mauvais goût un usage abusif et un bien piètre instrument de gestion de sa carrière politique finissante, le FPA d'Amara Benyounes semble avoir opté pour une ouverture politique et médiatique audacieuse où les alliés ne se recrutent pas toujours entre Maghnia, Tébessa, Alger et Tamanrasset, mais bien au-delà. Son plus fidèle conseiller en la matière semble être l'un des fondateurs des études contemporaines sur les médias, le Canadien Marshal Mc Luhan, auteur de la prophétique prédiction lancée dès 1962 : «Nous quittons la galaxie Guttenberg (NDLR : inventeur de l'imprimerie) pour la galaxie Marconi.» Cet éminent philosophe et sociologue est aussi l'auteur de cette autre sentence que devrait méditer Belkhadem et ses derniers amis : «L'ère numérique propose un message simplifié mais global et reconstitue la famille humaine en une seule tribu mondiale.» Pour contourner la redoutable machine électorale à diviser la famille musulmane pilotée par «les vautours du ténébrisme» (formule du SG du MPA) de la section algérienne de la nébuleuse intégro-salafiste, l'habile et expérimenté ancien ministre RCD de la Santé et des Travaux publics a tenté et réussi une magistrale opération de contournement stratégique de ses adversaires électoraux, en faisant une médiatique fusion entre les effluves de l'encre des caractères d'imprimerie de ses affiches proclamant que le printemps est algérien et celles du bouquet numérique Nessma en Tunisie. Se solidarisant tactiquement, durablement et selon toute vraisemblance même financièrement avec le patron de cette chaîne, qu'un grave conflit, ayant pris une dramatique dérive politico-judiciaire dans la Tunisie des lendemains de Révolution, oppose avec les salafistes de nos voisins de l'Est, le très médiatique Amara Benyounès. Ce dernier a réussi à faire un pied de nez magistral au non moins très archaïque paysage médiatique algérien encore plombé par les tenants de la thèse de la «main» de l'extérieur ! Ce superbe «ghoraf» astronomique bien algérien lui a permis de marteler, tout au long des premières soirées maghrébines que Nessma TV organise pour célébrer le 50e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie, des spots politiquement assassins à l'adresse des coupeurs de têtes et autres coupeurs de poteaux recyclés dans les «affaires» de la politique. Il n'y a aucune disposition de la loi électorale susceptible d'être invoquée pour disqualifier légalement la méthode de contournement utilisée par Amara Benyounes. Ce dernier a parfaitement bien compris que les députés FLN majoritaires, qui ont voté dans la précipitation la loi organique sur le régime électoral 2012, n'avait de yeux que pour les réunions électorales organisées «conformément aux dispositions de l'article…» dont ils ont pris soin de raboter les moindres expressions susceptibles d'ancrer des interprétations extensives attentatoires à «l'ordre public», oubliant d'insérer des dispositions réglementant l'usage des médias «extérieurs» de la galaxie Marconi, devenue, l'espace d'une campagne électorale menée tambour battant, la galaxie… maghrébine Benyounes-Karoui.
Amar Ghoul : le joker «in-tik» de l'alliance verte à Alger
Youcef, le chef de bureau de l'alliance verte de Sidi M'hamed a bien eu raison de considérer que l'insertion de photos représentant le viaduc Khelifa Oulmane et d'autres portions algéroises de l'autoroute Est-Ouest sur l'affiche d'Alger conduite, pour le compte de l'alliance verte par Amar Ghoul, est problématique pour ne pas oser dire le terme qu'il faut, illégale. Elle l'est effectivement et pas seulement au regard de la loi électorale qui n'a, là encore, pas prévu de disposition susceptible d'être invoquée pour proscrire ce type de détournement symbolique de l'une des plus grandes réalisations de la nation au cours de la dernière décennie. Elle est tout simplement scandaleuse et à tous points de vue : éthique, patriotique, politique et humain. Accepter sans réagir avec force de laisser Amar Ghoul filer avec un bout d'autoroute et endosser politiquement pour lui et pour le bénéfice exclusif de sa famille politique une réalisation de la nation relèverait d'un début d'effritement de l'autorité de Etat annonciateur d'une dérive finale où chaque acteur participant à l'effort collectif d'édification partirait avec son «bout» de quelque chose. Il est vrai que ce même Etat algérien, qui a financé, rubis sur l'ongle, cette historique réalisation, n'a rien fait pour empêcher Amar Ghoul de s'identifier aux réalisations de «son» secteur. En le laissant aux commandes de ce département ministériel pendant une décennie, presque jour pour jour, l'Etat algérien lui a permis de tisser une relation affective durable avec les chantiers comme ceux du viaduc d'El Anasser qu'il a dû visiter des centaines de fois au cours de sa «carrière» travaux publics et de passer ainsi aux yeux des citoyens comme le «Mahdi mountadher» que le secteur attendait depuis Noé. Question à quatre sous : si Amar Ghoul peut avec un seul morceau de viaduc inséré au mépris de la loi en arrière-plan de son affiche électorale prétendre rafler les voix si chères des Algérois, quel poste espérera- t-il briguer s'il réussit à charger sur une même affiche les 1200 km d'autoroute Est- Ouest ' C'est probablement lui que dénonce son ex-collègue au gouvernement et frère ennemi politique au HMS Menasra, quand il lance au cours de l'un de ses meetings de campagne : «La chkara de l'Etat est plus dangereuse que celle des particuliers.» C'est parce qu'ils n'ont certainement pas un bout d'autoroute à offrir en partage aux habitants de M'sila pourtant administrée par un élu HMS, que la direction de l'alliance verte a annulé le meeting électoral programmé dans cette ville, faute de quorum du public. Pour rattraper le coup, Abû Djerra filera tout droit vers sa Tébessa natale pour répondre à Menasra, son ex-concurrent à la tête du parti dans la langue rythmée de la djahilia qui est le sujet de thèse de son premier diplôme universitaire : «Ni baggara, ni chkara, ni électeurs bessennara! » Deux jours auparavant, et dans un autre meeting électoral, il s'essayait démagogiquement à un autre style de propagande électorale du même goût, plus moderne, plus politique. Cela donne : «Nous voulons passer de l'idéologique au technologique.» Ce qui en dehors de la rime suspecte ne veut absolument rien dire ou qui signifierait peut-être, dans le langage codé HMS, troquer l'héritage spirituel de Mahfoud Nahnah contre le bilan «in-tik» de l'élégant Amar Ghoul. Il ne s'agit de rien d'autre que de tenter de passer en quelque sorte des luttes soft en costume d'alpaga au combat de coqs sur chantier avec des bouts d'autoroute exhibés comme armes de conviction massive ou carrément comme butin d'une guerre électorale qui n'a pas encore eu lieu !
«El batata oua el bitala» et le facteur de Aïn Defla
Le ministre de l'Agriculture actuel a beau s'offusquer de l'utilisation facile qui a été faite pendant cette première semaine de la campagne électorale de la cherté de la pomme de terre par les partis politiques, il n'a pas empêché les jeunes d'un quartier d'Alger de fonder symboliquement sur les pas des ménagères tournoyant désespérément à la recherche d'étals aux prix moins flambants le parti de la «batata et de la bitala». En un clin d'œil, leur programme électoral, «ensemble pour combattre l'ennui», a connu des regroupements spontanés que n'ont pas réussis ceux qui préconisent le «retour des Souks El-Fellah » (PT) ou ceux se découvrant soudain des accents plus radicaux comme le FNA qui a décrèté que le pouvoir (dont il fait partie) est «composé de 100 % de voleurs et de corrompus». C'est là l'une des nouvelles les plus sympathiques et les plus fraîches que la chronique d'une campagne électorale, qui n'a pas réellement décollé après une semaine, ait enregistrées. La deuxième bonne nouvelle nous est venue du patron d'un nouveau parti anciennement dirigeant du RND. Il a avoué devant un parterre de journalistes, interloqués et médusés, que lorsqu'il «militait» en tant que ministre de l'Agriculture dans son ancien parti, il n'avait jamais possédé de carte de militant ' Pourquoi l'avoir puisqu'il avait celle de ministre ! Cet aveu tardif trahit en réalité le niveau de nos responsables politiques et explique en partie pourquoi les panneaux électoraux sont désespérément vides ou ne portent souvent que la seule photo du «grand che», expression de la persistance maladive du culte de la personnalité depuis Ferhat Abbas jusqu'à Bouteflika en passant par Ben Bella et Boumediène. Mais la nouveauté cette année, c'est que les grands chefs sont d'illustres inconnus ! La troisième et dernière bonne nouvelle qui honore les ressorts encore intacts de l'Algérie profonde nous parvient de Aïn Defla où le sympathique facteur du village apprécié de tous a décidé de se porter candidat aux élections législatives à la suite de réelles pressions «populaires». Habitué des marches de facteurs de la ville qu'il a toutes gagnées, Belkacem Lamamri a décidé cette fois-ci de s'essayer aux épreuves du marathon devant le mener aux portes de l'APN du boulevard Zirout- Youcef. Sa proximité des humbles, des malades, des handicapés pour le soulagement et la prise en charge desquels il a toujours répondu présent suffira-t-elle à le propulser de la petite planète de Aïn Defla qu'il arpente de long en large depuis de nombreuses et longues années à la galaxie algéroise qui a fait perdre pied à plus d'un prétendant aux mêmes honneurs républicains. Rien de moins sûr quand on voit les mines formatées et dévitalisées des candidats à l'APN, cuvée 2012, avec lesquels notre charmant facteur ne doit avoir aucun air de ressemblance ! A moins qu'il ne sollicite la baraka «intik » de Amar Ghoul, un enfant de Aïn Defla, qui a décidé de se protéger du mauvais œil électoral de ses collègues en s'abritant sous l'arceau bienveillant du viaduc Khellifa Oulmane, qu'une entreprise publique algérienne a mis plus de 30 années à réaliser, études comprises. Ce qui, tout compte fait, ne devrait pas constituer une réalisation que le candidat Amar Ghoul devrait exhiber et confisquer à la barbe et au su de ce que la République a d'autorités ! Bon vent Belkacem, le crieur public en uniforme de Aïn Defla !




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