Algérie

Le vrai Koubéen, le syndicaliste et le vendeur de batteries



Le vrai Koubéen, le syndicaliste et le vendeur de batteries
On a rapporté dans ces mêmes colonnes qu'une bagarre avait éclaté entre deux dirigeants du RC Kouba.
On a rapporté dans ces mêmes colonnes qu'une bagarre avait éclaté entre deux dirigeants du RC Kouba. Aujourd'hui, on va vous rapporter la véritable raison qui a poussé Youcef Kouache, un vieux de la vieille, à perdre patience par amour à un club qu'il suit partout depuis plus de 40 ans. Des déclarations tendancieuses d'un vendeur de batteries qui s'est retrouvé par hasard à la tête du club banlieusard et qui restera dans l'histoire comme étant le plus ignare des dirigeants koubéens. Ce sieur n'a pas trouvé mieux que d'insulter des dirigeants koubéens, connus pour leur dévouement au club et leur niveau appréciable, à l'instar de Salim Messani les traitant d'opportunistes et de mendiants. Youcef Kouache, qui n'a pas supporté cet écart impardonnable venant d'un illettré notoire amoureux de mechoui, est allé le reprocher à l'un de ses larbins, ancien syndicaliste de son état et supporter du RCK depuis deux saisons. Le ton est vite monté et le vrai supporter a perdu ses nerfs, avant que les choses ne se tassent. Vous l'avez compris, l'origine du mal, ce sont les insultes irresponsables du vendeur de batteries qui ont failli provoquer l'irréparable. On peut peut-être reprocher à Kouache ses nerfs à fleur de peau, souvent pour défendre le RCK, mais personne ne peut lui nier son amour indéfectible pour le club de son quartier ni son dévouement sans faille, à chaque fois que le club a eu besoin de ses services. Grâce à lui, sept lots de terrain et des appartements ont été attribués au RCK et offerts à des enfants du club connus pour leur situation sociale difficile. D'ailleurs, son propre appartement a été cédé au club pour héberger des joueurs, sans parler de l'apport de LAM dirigé par son ami feu Hocine Bouhadja et d'autres gestes forts que le concerné refuse de commenter, se contentant de lâcher : «Quand on aime, on ne compte pas», pour ensuite louer le mérite du député Seddik Chihab qui n'a ménagé aucun effort pour aider le club koubéen. A côté de tout cela, que vaut la retraite du syndicaliste et les méchouis du vendeur de batteries ' Rien, sinon qu'à grossir une carcasse humaine et laisser les restes aux pique-assiettes.


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