La République islamique d'Iran a beau afficher un nouveau visage à l'étranger, elle ne change pas ses habitudes. En témoigne la hausse du nombre d'exécutions dans le pays en 2013. D'après Amnesty International, au moins 369 personnes ont été exécutées en 2013 en Iran, soit une augmentation de 18% par rapport à 2012.La République islamique d'Iran a beau afficher un nouveau visage à l'étranger, elle ne change pas ses habitudes. En témoigne la hausse du nombre d'exécutions dans le pays en 2013. D'après Amnesty International, au moins 369 personnes ont été exécutées en 2013 en Iran, soit une augmentation de 18% par rapport à 2012.Avec ce chiffre, l'Iran arrive à la deuxième place du classement mondial du nombre d'exécutions, derrière la République populaire de Chine (plusieurs milliers d'exécutions). Toutefois, si l'on ramène ces chiffres à la population totale de chaque pays, c'est bien la République islamique qui arrive en tête.Sur les 369 exécutions 44 se sont déroulées en public, le plus souvent au moyen d'une grue soulevant dans les airs le condamné à mort. Qui sont les victimes ' La majorité des cas sont officiellement liés au trafic de stupéfiants.Mais les prisonniers sont généralement jugés à huis clos par des tribunaux révolutionnaires, connus pour leurs verdicts expéditifs. En outre, les accusés ne bénéficient pas d'une véritable possibilité de recours. Les autres exécutions couvrent des cas de "meurtre, de viol, d'espionnage, de corruption sur terre ou d'inimitié à l'égard de Dieu". Ce dernier chef d'accusation vise principalement l'insurrection armée.Avec ce chiffre, l'Iran arrive à la deuxième place du classement mondial du nombre d'exécutions, derrière la République populaire de Chine (plusieurs milliers d'exécutions). Toutefois, si l'on ramène ces chiffres à la population totale de chaque pays, c'est bien la République islamique qui arrive en tête.Sur les 369 exécutions 44 se sont déroulées en public, le plus souvent au moyen d'une grue soulevant dans les airs le condamné à mort. Qui sont les victimes ' La majorité des cas sont officiellement liés au trafic de stupéfiants.Mais les prisonniers sont généralement jugés à huis clos par des tribunaux révolutionnaires, connus pour leurs verdicts expéditifs. En outre, les accusés ne bénéficient pas d'une véritable possibilité de recours. Les autres exécutions couvrent des cas de "meurtre, de viol, d'espionnage, de corruption sur terre ou d'inimitié à l'égard de Dieu". Ce dernier chef d'accusation vise principalement l'insurrection armée.
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Posté Le : 29/03/2014
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com