Le traitement des maladies inflammatoires au bas niveau

Une affection qui fait partie des maladies inflammatoires et à laquelle on peut s'exposer en cas de mauvaise posture, mais aussi dans certains cas pour les personnes à risque telles que les personnes âgées, les femmes ménopausées ou celles souffrant de rhumatisme inflammatoire. C'est que les muscles sont mis à rude à épreuve pendant que l'on exerce son activité habituelle ou que l'on fait des gestes brusques ou ardus. Rares sont les personnes qui prennent les précautions nécessaires avant de faire appel à la force de leurs bras ou à l'endurance de leur corps pour soulever un poids ou accomplir une tâche«compliquée», comme le recommandent les médecins qui dressent une liste de gestes à éviter pour prévenir les problèmes de dos et la tendinite notamment.Des conseils que beaucoup ignorent dans la précipitation et dont ils ne se rappellent qu'une fois que le mal est fait. On pense, à tort, que seuls les sportifs sont exposés à ce risque, mais si cette affection est courante dans le milieu sportif, notamment footballistique, le commun des mortels n'en est pas épargné, pour peu qu'il force sur ses capacités ou qu'il adopte une mauvaise posture. Les anti-inflammatoires restent le seul remède dans la majoritédes cas, tout comme c'est le cas pour les maladies inflammatoires. Certaines sont réversibles et disparaissent en quelques jours, d'autres sont par contre chroniques, les tissus ou les articulations étant abimés. Si dans de nombreux pays de nouvelles molécules sont développées dans le but de stopper le processus de l'inflammation, on se contente chez nous de traiter la douleur, souvent en recourant à la médecine traditionnelle surtout lorsqu'il y a intolérance aux anti-inflammatoires.La réponse à l'arthrose, à la tendinite, aux rhumatismes et autres se trouventdans les antalgiques que prescrivent les praticiens alors que les corticoïdes sont sollicités pour diminuer l'inflammation (chronique). Il faut croire que lesaffections inflammatoires ne sont pas au c?ur de rencontres qui permettraient de «forcer la main» aux autorités sanitaires dans le but d'aligner notre pays surles recherches qui sont effectuées ailleurs. La prévention reste donc la meilleure alternative pour préserver ses muscles et son corps dans la mesure du possible.R. M.