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Le traitement des déchets de l’hôpital : de Kouba confié aux Belges



Le traitement des déchets hospitaliers de l’hôpital Bachir Mentouri de Kouba, à Alger, a été confié aux Belges. C’est ce qui a été conclu hier avec la signature d’une convention spécifique algéro-belge, au siège du ministère de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire, en présence de M. Baudouin Vanderhulst, ambassadeur du Royaume de Belgique à Alger.

Chérif Rahmani a précisé qu’il s’agit d’une opération pilote qui entre dans le cadre du programme de coopération algéro-belge, pour la gestion des déchets hospitaliers (traçabilité des déchets, organisation du tri, du circuit de collecte des déchets, installation d’audit de l’incinérateur et de station de traitement des effluents liquides hospitaliers et leur réhabilitation). Le coût financier de cette opération est de 575.000 euros. Le ministre a indiqué que la dépollution des établissements de soins algériens est une des préoccupations de son département. Il précise « nous sommes sur le bon chemin», rappelant que 300 incinérateurs fonctionnent aujourd’hui dans nos hôpitaux alors qu’ils étaient au nombre de 100 seulement. L’ambassadeur du Royaume de Belgique à Alger qui n’a pas cessé de rappeler les liens d’amitié, de fidélité et de coopération entre l’Algérie et la Belgique, a évoqué la réalisation d’un important projet à l’Ouest du pays. Nous apprendrons en marge de la cérémonie de signature que ce projet algéro-belge porte sur la gestion des déchets de la ville de Mascara pour un montant de 300.000 euros. Le diplomate belge a indiqué que les études de ce projet «ont commencé durant le mois en cours». Selon lui, une «convention spécifique sera signée, dès que l’identification du projet sera terminée, afin de passer à la phase d’exécution».





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Je trouve aberant de confier a des étrangers une activité qui nécessite pas l'apport d'une haute technologie et qui est a la porté de beaucoups d'algeriens.Moi qui connais bien la Belgique, l'activite d'incinération, son transport et son enlevement est dédier aux micro-entreprises qui exploites cette filliére d'une maniére réguliére conformement aux lois européennes. Il est temps aux Algeriennes et Algeriens de savoir qu'il ne faux sortir de Seint Sir pour savoir tirer a la carabine.
mennai messaoud - chimiste specialiste en incinération des dasri - tazoult batna, Algérie

28/10/2010 - 7814

Commentaires

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