Algérie

le temps des «banksters»


Libéralisme: il se situe au côté gauche (de la droite) de l'échiquier politique. Dans la vie politique, en principe, il prône la défense des droits individuels subjectifs : la liberté d'expression des individus dans le respect du droit, du pluralisme et du libre-échange des idées. Pour moi, c'est un peu -peut-être même beaucoup- l'individualisme, celui qui, certes, valorise-rait (ou facilite-rait) les meilleures adaptations mais aussi, et hélas, la prise en charge totale, par des groupes économiques, industriels et financiers s'inscrivant désormais et à fond dans la mondialisation-globalisation, et souvent aux objectifs douteux car trop égoïstes.Libertarisme (ou libertarianisme): il se situe tout à fait à droite de l'échiquier politique. L'ultra droite ! Dans la vie politique générale, en principe, il est implanté, à l'exemple des USA, surtout au sein de parti «Républicain». C'est le «c?ur et l'esprit du conservatisme». Il veut promouvoir un marché sans entrave au nom de la liberté individuelle. Pour moi, c'est un peu -peut-être même beaucoup- le néo-populisme, non pas l'anarchique ou le démagogique, mais le fasciste favorisant surtout les individus les plus forts matériellement et financièrement. Avec une très forte dose de suprématisme et de racisme.
Faut-il donc s'étonner de voir, de nos jours, et ce, depuis plusieurs décennies, une lutte sourde mais bien réelle opposant la première à la seconde le libertarisme faisant, in situ, une ombre menaçant les intérêts, surtout ceux internationaux du libéralisme classique, celui des affairistes et des capitalistes qui a dominé et domine encore une bonne partie du monde. En effet, le libertarisme est en train de gagner du terrain. Cela a commencé à bien essaimer après avoir été bien encouragé par D. Trump, avec Viktor Orban, avec Bolsonaro, avec Netanyahu, et depuis peu avec le néérlandais Geart Wilders et de bien d'autres, sans compter les montées en puissance de l'Afd en Allemagne, du Rn en France et même en Suède et en Irlande. Tous ont un point commun : populistes, polémistes, climato-sceptiques, antisystèmes, anti-immigration. Ce qui n'arrange en aucun cas le système (libéral et dit «démocratique») déjà établi, sauf, bien sûr, si cela va dans le sens des «affaires».
Comme cela se fait depuis toujours et aujourd'hui bien plus qu'hier, avec l'entité sioniste, Israël, et son dirigeant Netanyahu, toujours en place malgré moult scandales.
Une entité conçue par des affairistes et autres banquiers, seuls ou/en groupes. Entité entretenue par eux, et réalisée par des hommes de mains, terrorisant et assassinant sans pitié les populations palestiniennes. Des grands «remplacements» génocidaires avant l'heure et bien avant les dérivés bâtards que sont les Zemour, les Messiah, les Habib Meyer, les Gilles Williams Goldnadel et les Enrico Macias. Une entité créée de toutes pièces qui, sous couvert et avec le soutien des «démocraties libérales» totalement dépassées par leurs ailes ultra droitières, pratique à l'intérieur de ses «frontières» un libertarianisme extrême allant jusqu'à instaurer un apartheid ne disant pas son nom. Le drame, c'est qu'en certaines parties du Sud dit «global», l'on retrouve des jonctions et des complicités : des Etats plus autoritaristes que démocratiques, souverainistes mais aussi grands affairistes, pratiquant une certaine intolérance et même le suprématisme quand ce n'est pas un certain racisme. Ce qui facilite grandement la tâche aux «maîtres (financiers) du monde», ces nouveaux «Banksters» qui chantent le libéralisme en public mais pratiquent le libertarisme radical en coulisses. Pour toujours plus d'affaires, plus de marchés, plus d'argent, plus d'exploitation des hommes (du Sud) et des ressources minières, plus de territoires. En allant jusqu'à inventer des «guerres de civilisation». Par le fer, le feu et la guerre et les massacres et les génocides si besoin est. Et surtout par une désinformation victimisant et même innocentant comme d'habitude, le vrai, le premier et le seul coupable. D'abord le colonialisme, puis le nazisme -à ses débuts), puis l'impérialisme, puis le néocolonialisme, aujourd'hui le sionisme et demain le libertarianisme. Idéologie bâtie non plus sur l'idée originelle d'une société juste qui respecte et protège la liberté de chaque individu, mais reposant désormais sur un anarcho-capitalisme (dénoncé d'ailleurs par Noam Chomsky), charriant et exploitant, entre autres, des mythes mystificateurs (mais rentables financièrement, dont la Shoah), délibérément mensongers en tout, et pire encore adepte -bien conscient- de la »science du génocide».
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