Algérie

Le taux de chomage devrait atteindre 13,2 % en 2018



Le chômage s'avère aujourd'hui une réalité inquiétante dans notre pays. Il perdure depuis plusieurs années et se révèle un phénomène complexe qui suscite de multiples interrogations auxquelles nosgouvernants doiventremédier en urgencesi ils veulent limiter son ampleur inquiétante.Le chômage s'avère aujourd'hui une réalité inquiétante dans notre pays. Il perdure depuis plusieurs années et se révèle un phénomène complexe qui suscite de multiples interrogations auxquelles nosgouvernants doiventremédier en urgencesi ils veulent limiter son ampleur inquiétante.
C'est la métastase économique, l'hémorragie financière, les mots ne manquent pas pour décrire cette situation effarantes. Jusque-là, les différents gouvernements qui ont eu l'honneur de gérer les affaires du pays, ont eu toujours recours à des astuces de grands-mères ou des solutions simplistes, qui ne semble pas être à la hauteur des aspirations escomptées.
Une étude menée par la direction générale du Trésor français le confirme d'ailleurs, en affirmant que le chômage va augmenter significativement à partir de 2018 du fait d'un ralentissement de l'activitén économique de notre pays. Cette étude sur les défis de la démographie au Maghreb, citée par la très officielle APS, relève un décalage entre le capital humain et les besoins du marché de l'emploi, malgré les importants investissements consentis dans l'enseignement supérieur.
Selon toujours cette étude, le taux de chômage enAlgérie, évalué à 11,7 % pour 2017, "devrait atteindre13,2 % en 2018, du faitd'un ralentissement de l'activité économique (0,8 % decroissance prévu en 2018),alors que le taux de chômage des jeunes s'établit à 26 % (18 % pour les diplômés de l'enseignement supérieur)", relevant que le taux de chômage desfemmes reste "plus élevé"(20 %) que celui leshommes (8,1 %). Ces chiffres font froid dans le dos et indiquent que des millions de jeunes Algériens subiront la précarité en 2018.
Une situation très dangereuse qui peut saper la stabilité denotre pays. Cette mêmeétude a pointé du doigt le système de fonctionnementde notre enseignementsupérieur qui génère un"décalage entre le capitalhumain et les besoins dumarché de l'emploi". Cette étude explique que la surreprésentationdes étudiantsinscrits en sciences sociales et humaines (près de 65 %)"ne répond pas aux besoins actuels de l'économie"algérienne.
En effet, Les diplômés sortant de l'université, ainsi que la catégorie des jeunes de la société civile sont les plusexposés au chômage au moment d'entrer dans la vie professionnelle. Pour l'année en cours, le nombre des chômeurs risque de s'accroître, vu que des milliers d'universitaires ont obtenu de différents diplômes.
En dépit des efforts consentis pour arriver à un stade où l'économie crée ses propres emplois et passer d'uneétape de soutien au préemploià celle de postes permanents, le chômage endémique échappe quelque peu au contrôle du Gouvernement. Outre lesfacteurs endogènes, qui influent sur la politique nationale de l'emploi, latendance mondiale pèse lourdement sur les capacités d'insertion des jeuneschômeurs algériens dans le monde du travail.
C'est la métastase économique, l'hémorragie financière, les mots ne manquent pas pour décrire cette situation effarantes. Jusque-là, les différents gouvernements qui ont eu l'honneur de gérer les affaires du pays, ont eu toujours recours à des astuces de grands-mères ou des solutions simplistes, qui ne semble pas être à la hauteur des aspirations escomptées.
Une étude menée par la direction générale du Trésor français le confirme d'ailleurs, en affirmant que le chômage va augmenter significativement à partir de 2018 du fait d'un ralentissement de l'activitén économique de notre pays. Cette étude sur les défis de la démographie au Maghreb, citée par la très officielle APS, relève un décalage entre le capital humain et les besoins du marché de l'emploi, malgré les importants investissements consentis dans l'enseignement supérieur.
Selon toujours cette étude, le taux de chômage enAlgérie, évalué à 11,7 % pour 2017, "devrait atteindre13,2 % en 2018, du faitd'un ralentissement de l'activité économique (0,8 % decroissance prévu en 2018),alors que le taux de chômage des jeunes s'établit à 26 % (18 % pour les diplômés de l'enseignement supérieur)", relevant que le taux de chômage desfemmes reste "plus élevé"(20 %) que celui leshommes (8,1 %). Ces chiffres font froid dans le dos et indiquent que des millions de jeunes Algériens subiront la précarité en 2018.
Une situation très dangereuse qui peut saper la stabilité denotre pays. Cette mêmeétude a pointé du doigt le système de fonctionnementde notre enseignementsupérieur qui génère un"décalage entre le capitalhumain et les besoins dumarché de l'emploi". Cette étude explique que la surreprésentationdes étudiantsinscrits en sciences sociales et humaines (près de 65 %)"ne répond pas aux besoins actuels de l'économie"algérienne.
En effet, Les diplômés sortant de l'université, ainsi que la catégorie des jeunes de la société civile sont les plusexposés au chômage au moment d'entrer dans la vie professionnelle. Pour l'année en cours, le nombre des chômeurs risque de s'accroître, vu que des milliers d'universitaires ont obtenu de différents diplômes.
En dépit des efforts consentis pour arriver à un stade où l'économie crée ses propres emplois et passer d'uneétape de soutien au préemploià celle de postes permanents, le chômage endémique échappe quelque peu au contrôle du Gouvernement. Outre lesfacteurs endogènes, qui influent sur la politique nationale de l'emploi, latendance mondiale pèse lourdement sur les capacités d'insertion des jeuneschômeurs algériens dans le monde du travail.


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