Algérie

Le soulagement des familles des otages


Le soulagement des familles des otages
Après une attente éprouvante, qui aura duré dix longs mois, les familles des marins algériens libérés n'ont pas hésité à faire part de leur «soulagement» et de leur «joie indescriptible». Elles ont été toutes unanimes à affirmer que ce «jeudi représente pour elles un jour de fête à la veille de l'Aïd». «C'est un jour béni et inoubliable pour nous», commente Mme Hannouche, femme d'un marin libéré.
«Ce matin, à 7h30, j'ai reçu un appel de mon mari. Je n'en croyais pas mes oreilles. On dirait un rêve quand j'ai entendu sa voix crier : ''Nous avons été libérés, nous sommes désormais libres, tu peux pousser des you-yous''», raconte-t-elle avec une voix nouée par l'émotion. Même sentiment de joie chez Mme Achour qui, dit-elle, a souffert avec ses deux enfants en bas âge, 5 et 2 ans, de la «longue absence» de son mari. Mais le plus dur pour cette dame, c'est que son fils de 5 ans n'a jamais cessé de réclamer son père, sa fille âgée de deux ans ne s'est heureusement pas rendue compte de son absence. «Mon fils est rentré à l'école pour la première fois cette année. Le jour de la rentrée, il avait exigé la présence de son père. Chaque jour, je devais inventer des arguments pour lui expliquer les raisons de cette longue absence», explique-t-elle. Même souffrance laquelle qui affirme qu'elle s'est sentie «renaître». Mme Kahli, dont le frère, âgé de 60 ans, effectuait son dernier voyage avant de prendre sa retraite, s'est «félicitée» de la fin d'un «calvaire de 10 mois». Azzedine Toudji, le marin libéré il ya quelques semaines, a indiqué, quant à lui : «A présent, je me sens soulagé car, après ma libération, je me sentais isolé et j'ai refusé de recevoir famille et amis. Je n'ai jamais cessé de penser à mes collègues car je m'inquiétais du sort qui allait leur être réservé», ajoute-t-il sans cacher son profond soulagement.
Après une attente éprouvante, qui aura duré dix longs mois, les familles des marins algériens libérés n'ont pas hésité à faire part de leur «soulagement» et de leur «joie indescriptible». Elles ont été toutes unanimes à affirmer que ce «jeudi représente pour elles un jour de fête à la veille de l'Aïd». «C'est un jour béni et inoubliable pour nous», commente Mme Hannouche, femme d'un marin libéré.
«Ce matin, à 7h30, j'ai reçu un appel de mon mari. Je n'en croyais pas mes oreilles. On dirait un rêve quand j'ai entendu sa voix crier : ''Nous avons été libérés, nous sommes désormais libres, tu peux pousser des you-yous''», raconte-t-elle avec une voix nouée par l'émotion. Même sentiment de joie chez Mme Achour qui, dit-elle, a souffert avec ses deux enfants en bas âge, 5 et 2 ans, de la «longue absence» de son mari. Mais le plus dur pour cette dame, c'est que son fils de 5 ans n'a jamais cessé de réclamer son père, sa fille âgée de deux ans ne s'est heureusement pas rendue compte de son absence. «Mon fils est rentré à l'école pour la première fois cette année. Le jour de la rentrée, il avait exigé la présence de son père. Chaque jour, je devais inventer des arguments pour lui expliquer les raisons de cette longue absence», explique-t-elle. Même souffrance laquelle qui affirme qu'elle s'est sentie «renaître». Mme Kahli, dont le frère, âgé de 60 ans, effectuait son dernier voyage avant de prendre sa retraite, s'est «félicitée» de la fin d'un «calvaire de 10 mois». Azzedine Toudji, le marin libéré il ya quelques semaines, a indiqué, quant à lui : «A présent, je me sens soulagé car, après ma libération, je me sentais isolé et j'ai refusé de recevoir famille et amis. Je n'ai jamais cessé de penser à mes collègues car je m'inquiétais du sort qui allait leur être réservé», ajoute-t-il sans cacher son profond soulagement.
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