Maâlem Medjbar, de son vrai nom Benmadjbari Majdbar, reste fidèle à lui-même. La quête de fusion dans une atmosphère roots est permanente chez cet artiste natif de la Saoura. Dimanche soir, au stade Enasr de Béchar, à la troisième soirée du 7e Festival national culturel de musique diwan, il a invité le jeune public à apprécier plusieurs formes d’expressions mélodiques et rythmiques. Il a exploité le rythme aïssaoui, par exemple. Comme il a repris le célèbre Yamina d’Ahmed Wahbi (chanté également par Khaled dans une version raï), en l’adoptant au diwan. Maâlem Medjbar a même suggéré la transe. «La plupart du temps, je travaille en fusion. Il est rare que je ne fasse que du traditionnel. Je le fais parfois à la demande. Sur une scène comme ça, je veux exploiter mes recherches. Pour moi, le traditionnel c’est le gumbri, le kerkabou, les percussions, le ganga. Autrement dit, il n’y a pas d’instruments électriques.
On reste donc dans le noyau diwan. Il est toujours possible de fusionner avec des instruments acoustiques, comme le violon ou la flûte», a soutenu maâlem Medjbar. Selon lui, le noyau du diwan est constitué de m’hala et de bradj. «Cela doit être respecté
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Posté Le : 22/02/2015
Posté par : Slash
Source : http://algeria.24-news.in/