Ahmed Awad ben Moubarak, ministre yéménite des Affaires étrangères«Le sommet d'Alger est déterminant pour les enjeux de la région arabe. J'espère que le sommet d'Alger aura des résultats à la hauteur des aspirations de la rue arabe»,
Othman Jerandi, ministre tunisien des Affaires étrangères
«Les pays arabes sont appelés à travailler ensemble pour relever les défis auxquels ils sont confrontés. Il s'agit de trouver des solutions politiques aux crises dans certaines régions arabes, y compris la question palestinienne. Les défis les plus importants auxquels sont confrontés nos pays sont l'extrémisme et le terrorisme, et nous sommes appelés à renforcer l'action commune pour faire face à ce phénomène».
Soltan bin Saâd Al-Muraïkhi, ministre d'Etat qatari aux Affaires étrangères
«Le sommet d'Alger sera une réussite à tous les niveaux, souhaitons que les conclusions de cette édition soient positives pour l'ensemble des peuples arabes».
Abdallah Bou Habib, ministre libanais des Affaires étrangères
Lle ministre libanais des Affaires étrangères a tenu à souligner que son pays «mise sur le rôle de l'Algérie pour parvenir à une véritable unification des rangs arabes. L'absence d'une position arabe unie ouvrirait la voie à l'ingérence dans les affaires internes des pays arabes» précisant que «son pays avait accueilli avec satisfaction la rencontre des factions palestiniennes en Algérie, car étant une étape importante pour tous les Arabes. Toute tentative de paix à l'avenir nécessite l'unité des rangs palestiniens au moment où l'entité sioniste continue de rejeter les processus de paix». Il a exprimé le souhait de voir «le Conseil du Sommet arabe approuver l'initiative de la sécurité alimentaire, étant un projet bénéfique pour tous».
Mohamed Salem Ould Merzouk, ministre mauritanien des Affaires étrangères
«Cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la concertation continue autour des questions arabes, relevant la convergence de vues entre les deux pays sur plusieurs questions
intéressant la nation arabe et les deux pays».
Fouad Hussaïn, ministre irakien des Affaires étrangères
«L'Algérie a de tout temps joué un rôle pionnier aux yeux des Irakiens, en ce sens qu'elle constitue un pan de l'histoire de l'Irak, et la guerre de libération est évidemment connue dans la culture et la politique irakiennes. Le sommet arabe intervient dans un contexte de défis locaux, régionaux et internationaux, c'est pourquoi les participants sont appelés à examiner ces défis et à explorer les moyens à même de les relever».
Mahmoud Ali Youssef, ministre djiboutien des Affaires étrangères
«Le 31e Sommet arabe d'Alger, convoqué après un retard de trois ans et demi pour des raisons connues, sera couronné de succès, dans la mesure où toutes les conditions sont réunies pour ce faire». précisant que son pays était «favorable à l'initiative de la sécurité alimentaire devenue, de par le monde, un impératif compte tenu de la conjoncture induite par la crise ukrainienne».
Dhoihir Dhoulkamal, ministre comorien des Affaires étrangères
«Voir le prochain sommet arabe se réunir dans de bonnes conditions pour avancer dans les débats et développer la solidarité entre pays arabes. Un travail conjoint pour un Sommet couronné de solutions consensuelles et des accords à la hauteur des aspirations de nos peuples. Les ministres arabes des Affaires étrangères se pencheront sur plusieurs dossiers épineux, à l'instar de la Palestine, la Syrie, la Libye et le Soudan.
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Posté Le : 31/10/2022
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ali AMZAL
Source : www.lexpressiondz.com