Algérie

Le Snapest annonce sa participation



Le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) vient d'annoncer son ralliement aumot d'ordre de grève du 14 février à l'initiative de l'Intersyndicale.Le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) vient d'annoncer son ralliement aumot d'ordre de grève du 14 février à l'initiative de l'Intersyndicale.
Comme il a annoncé aussi sa pleine adhésion au mouvement de grève des 20 et 21 février que va initier l'Intersyndicale de l'Education nationale. Le bureau national du Snapest, qui s'est réuni ces derniers jours, a estimé que la situationsociale est très complexe et n'hésite pas à faire porter le chapeau aux pouvoirs publics qu'il accuse ouvertement d'entraver les libertés syndicales.
Dans le communiqué, rendu public hier par le Snapest, le gouvernement est accusé d'entêtement pourn'avoir pas satisfait les revendications des syndicats autonomes. Il en est de même pour le ministère de tutelle, celui del'Educationnationale, à qui il est reproché ses tergiversations par rapport aux revendications qui luisont présentés. De fait le Snapest confirme sa participation à la grève du 14 février à laquelle a appelé l'Intersyndicale.
Cette dernière comprend des syndicats autonomes de plusieurs secteurs, notamment ceux de la Santé et del'Education nationale. Cette grève nationale d'une journée sera aussi ponctuée par des rassemblements devant l'ensembledes 48 wilayas du pays. Ce syndicat prendra aussi part au mouvement de débrayage de deux jours, les 20 et 21 février, à l'initiative de l'Intersyndical de l'Education national. Le communiqué appelle les adhérents du syndicat à lamobilisation générale afin de contribuer à la réussite de ces mouvements de protestationstout en mettant en garde contre toute tentative de diluer les revendications des protestataires et leur porter attente.
Autant dire que ces deux mouvements de grève sont l'expression d'un grand rasle- bol tant ils interviennent dans un contexte particulier marqué déjà par moult tensions sur la scène socio-économique. En effet, dans le secteur de l'Education nationale la grève initiée par le Cnapeste bat son plein depuis plusieurs jours déjà. Une grève nationale qui est venue s'ajouteraux deux grèves dans les wilayas de Blida et Béjaïa qui durent depuis plusieurs semaines et quine semblent pas encore trouver de solutions. Il est utile aussi de rappeler les grèves dans les secteursde la Santé et de l'Enseignementsupérieur.
En effet, dans le secteur de la Santé la grève des médecinsrésidents se poursuit depuis deux mois déjà et rien n'indique que le dénouement est proche et ce, contrairement à la grève des paramédicaux qui a pris fin après un accord avec la tutelle. L'enseignement supérieur n'est pas en reste puisque les étudiants des ENS sont en grève depuis le mois de novembre. Toutes ces tensions sur le front social font craindre le pire. C'est surtout le cas dans le secteur de l'Education nationale où l'on craint, avec lapoursuite du bras-de-fer entre la tutelle et le Cnapeste, l'année blanche et ce, même si la ministre Nouria Benghabrit a balayé d'un revers de la main cette éventualité.
Pour revenir aux revendicationsdu Snapest celles-ci tournent principalement autour de la nécessité de la préservation du pouvoir d'achat, le droit à laretraite proportionnelle et anticipée, la protection des libertés syndicales, l'association dessyndicats à l'élaboration du codedu travail et l'arrêt de toutes les entraves à leur libre exercice.
Comme il a annoncé aussi sa pleine adhésion au mouvement de grève des 20 et 21 février que va initier l'Intersyndicale de l'Education nationale. Le bureau national du Snapest, qui s'est réuni ces derniers jours, a estimé que la situationsociale est très complexe et n'hésite pas à faire porter le chapeau aux pouvoirs publics qu'il accuse ouvertement d'entraver les libertés syndicales.
Dans le communiqué, rendu public hier par le Snapest, le gouvernement est accusé d'entêtement pourn'avoir pas satisfait les revendications des syndicats autonomes. Il en est de même pour le ministère de tutelle, celui del'Educationnationale, à qui il est reproché ses tergiversations par rapport aux revendications qui luisont présentés. De fait le Snapest confirme sa participation à la grève du 14 février à laquelle a appelé l'Intersyndicale.
Cette dernière comprend des syndicats autonomes de plusieurs secteurs, notamment ceux de la Santé et del'Education nationale. Cette grève nationale d'une journée sera aussi ponctuée par des rassemblements devant l'ensembledes 48 wilayas du pays. Ce syndicat prendra aussi part au mouvement de débrayage de deux jours, les 20 et 21 février, à l'initiative de l'Intersyndical de l'Education national. Le communiqué appelle les adhérents du syndicat à lamobilisation générale afin de contribuer à la réussite de ces mouvements de protestationstout en mettant en garde contre toute tentative de diluer les revendications des protestataires et leur porter attente.
Autant dire que ces deux mouvements de grève sont l'expression d'un grand rasle- bol tant ils interviennent dans un contexte particulier marqué déjà par moult tensions sur la scène socio-économique. En effet, dans le secteur de l'Education nationale la grève initiée par le Cnapeste bat son plein depuis plusieurs jours déjà. Une grève nationale qui est venue s'ajouteraux deux grèves dans les wilayas de Blida et Béjaïa qui durent depuis plusieurs semaines et quine semblent pas encore trouver de solutions. Il est utile aussi de rappeler les grèves dans les secteursde la Santé et de l'Enseignementsupérieur.
En effet, dans le secteur de la Santé la grève des médecinsrésidents se poursuit depuis deux mois déjà et rien n'indique que le dénouement est proche et ce, contrairement à la grève des paramédicaux qui a pris fin après un accord avec la tutelle. L'enseignement supérieur n'est pas en reste puisque les étudiants des ENS sont en grève depuis le mois de novembre. Toutes ces tensions sur le front social font craindre le pire. C'est surtout le cas dans le secteur de l'Education nationale où l'on craint, avec lapoursuite du bras-de-fer entre la tutelle et le Cnapeste, l'année blanche et ce, même si la ministre Nouria Benghabrit a balayé d'un revers de la main cette éventualité.
Pour revenir aux revendicationsdu Snapest celles-ci tournent principalement autour de la nécessité de la préservation du pouvoir d'achat, le droit à laretraite proportionnelle et anticipée, la protection des libertés syndicales, l'association dessyndicats à l'élaboration du codedu travail et l'arrêt de toutes les entraves à leur libre exercice.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)