Le site de « Lalla Roubba »

Initialement la donatiste ROUBBA, bouclée inexplicablement par l’histoire officielle et notamment par les historiens à la solde de l’église de Rome, indique les sources historiques, ROUBBA est née vers la fin du 2eme siècle « 384 » et elle a été assassinée, au début du 3eme siècle « 484 ».



De plus en plus nombreux sont les citoyens et les universitaires concernées par le patrimoine national à s’intéresser à un site jusqu’à la méconnu. Dénommé Lalla Roubba situé à quelques kilomètres de la ville de Sfisef sur la route de Mascara c’est une élévation naturelle dénommée Lalla Roubba par les autochtones, les Oueled Slimane. Ce monticule capte l’attention et les regards ; par les formes de ses pierres. Ses quatre versants se distinguent à vue d’œil par de gros blocs brilles différentes et qui peuvent atteindre 05 cinq mètres de hauteurs en formes de parallélépipèdes collés les uns aux autres ; toute une légende est racontée de père en fils, mais c’est la période romaine qui apportent des éclaircissements édifiants sur Roubba. Celle-ci est une religieuse qui a succombé en l’an 434 sous les coups des « traditeurs »au cours des guerres sanglantes entre hérétiques et orthodoxes. A cette époque, le donatisme restait le dominant et tout puissant car certaines actions ont permis la mise à jour des caveax de plusieurs dignitaires dont Roubba. Et c’est à partir de la recherche historique scientifiquement menée, selon des historiens de la région, qu’il est mis fin à toutes les légendes racontées sur Roubba.