Algérie

Le siège de la télévision en flammes, combats à Sanaâ



Le siège de la télévision en flammes, combats à Sanaâ
Une partie du bâtiment de la télévision publique, situé à proximité d'autres institutions étatiques, a pris feu à la suite d'une intensification des bombardements samedi matin, a dit un employé à Reuters,Une partie du bâtiment de la télévision publique, situé à proximité d'autres institutions étatiques, a pris feu à la suite d'une intensification des bombardements samedi matin, a dit un employé à Reuters,Le bâtiment de la télévision publique du Yémen était en feu samedi après trois jours de bombardements au mortier par les rebelles Houthis, protestant contre le gouvernement, ont rapporté des habitants et un employé de la télévision. Après plusieurs semaines de manifestations et de heurts, le conflit a franchi un nouveau palier jeudi, lorsque des combats ont opposé des Houthis à l'armée aux abords de Sanaâ, la capitale.Les affrontements opposent principalement les Houthis chiites aux partisans de la tribu sunnite Al Ahmar, l'un des clans les plus puissants du Yémen fortement représenté au sein de l'état-major et du gouvernement. Une partie du bâtiment de la télévision publique, situé à proximité d'autres institutions étatiques, a pris feu à la suite d'une intensification des bombardements samedi matin, a dit un employé à , ajoutant que plusieurs centaines de personnes étaient bloquées à l'intérieur.La télévision a diffusé à l'écran un message écrit appelant les institutions yéménites et internationales à venir au secours de ses employés. Trois obus de mortier ont été tirés dans un quartier proche du ministère de l'Intérieur où se déroulent des rassemblements de Houthis, a rapporté un journaliste de Reuters.On ignore qui sont les auteurs de ces tirs. L'université de Sanaâ, la plus importante du pays, est restée fermée samedi après la chute d'un obus dans son enceinte vendredi. La rébellion armée des Houthis, qui dure depuis des années dans le nord du Yémen, est l'un des trois défis en matière de sécurité auxquels est confronté le pouvoir yéménite, avec le mouvement sécessionniste dans le sud du pays et l'implantation sur une grande partie du territoire d'Al Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA).Le bâtiment de la télévision publique du Yémen était en feu samedi après trois jours de bombardements au mortier par les rebelles Houthis, protestant contre le gouvernement, ont rapporté des habitants et un employé de la télévision. Après plusieurs semaines de manifestations et de heurts, le conflit a franchi un nouveau palier jeudi, lorsque des combats ont opposé des Houthis à l'armée aux abords de Sanaâ, la capitale.Les affrontements opposent principalement les Houthis chiites aux partisans de la tribu sunnite Al Ahmar, l'un des clans les plus puissants du Yémen fortement représenté au sein de l'état-major et du gouvernement. Une partie du bâtiment de la télévision publique, situé à proximité d'autres institutions étatiques, a pris feu à la suite d'une intensification des bombardements samedi matin, a dit un employé à , ajoutant que plusieurs centaines de personnes étaient bloquées à l'intérieur.La télévision a diffusé à l'écran un message écrit appelant les institutions yéménites et internationales à venir au secours de ses employés. Trois obus de mortier ont été tirés dans un quartier proche du ministère de l'Intérieur où se déroulent des rassemblements de Houthis, a rapporté un journaliste de Reuters.On ignore qui sont les auteurs de ces tirs. L'université de Sanaâ, la plus importante du pays, est restée fermée samedi après la chute d'un obus dans son enceinte vendredi. La rébellion armée des Houthis, qui dure depuis des années dans le nord du Yémen, est l'un des trois défis en matière de sécurité auxquels est confronté le pouvoir yéménite, avec le mouvement sécessionniste dans le sud du pays et l'implantation sur une grande partie du territoire d'Al Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA).




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