Le siège de daïra fermé par des villageois d'Afir Dellys, Boumerdès

Les habitants de la commune d'Afir ne décolèrent pas. Hier encore, ils exprimaient leur mécontentement contre la pénurie d'eau potable qui affecte leur localité. Les contestataires ont fermé les sièges de l'APC et de la daira de Dellys pour attirer l'attention des autorités surt ce problème qui n'a que trop duré. Pour rappel les villageois avaient déjà fermé la RN 24 durant toute la journée d'hier pour exiger leur approvisionnement en ce précieux et vital liquide. Hier, ils étaient des dizaines à avoir répondu à l'appel de leur comité de village pour l'observation d'un sit-in devant le siège de daïra. « Cela fait 82 jours que nous n'avons pas d'eau. La plupart d'entre nous achètent des citernes alors que d'autres sont contraints de parcourir des dizaines de kilomètres pour le puiser
ailleurs », se plaignent-ils. Les responsables locaux leur ont expliqué que cette pénurie est due à un problème électrique survenu au niveau d'une station de refoulement à Benchoud. Mais les villageois n'ont pas été convaincus par cette réponse évasive pour un problème qui dure depuis plusieurs années. Et ils menacent de recourir à d'autres actions de protestation qui, selon eux, sont devenues la seule solution qui leur reste pour faire entendre leurs voix.
Les habitants de la commune d'Afir ne décolèrent pas. Hier encore, ils exprimaient leur mécontentement contre la pénurie d'eau potable qui affecte leur localité. Les contestataires ont fermé les sièges de l'APC et de la daira de Dellys pour attirer l'attention des autorités surt ce problème qui n'a que trop duré. Pour rappel les villageois avaient déjà fermé la RN 24 durant toute la journée d'hier pour exiger leur approvisionnement en ce précieux et vital liquide. Hier, ils étaient des dizaines à avoir répondu à l'appel de leur comité de village pour l'observation d'un sit-in devant le siège de daïra. « Cela fait 82 jours que nous n'avons pas d'eau. La plupart d'entre nous achètent des citernes alors que d'autres sont contraints de parcourir des dizaines de kilomètres pour le puiser
ailleurs », se plaignent-ils. Les responsables locaux leur ont expliqué que cette pénurie est due à un problème électrique survenu au niveau d'une station de refoulement à Benchoud. Mais les villageois n'ont pas été convaincus par cette réponse évasive pour un problème qui dure depuis plusieurs années. Et ils menacent de recourir à d'autres actions de protestation qui, selon eux, sont devenues la seule solution qui leur reste pour faire entendre leurs voix.