Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé mardi les autorités syriennes à garantir une liberté totale de mouvement à la mission d'observateurs chargés de superviser le cessez-le-feu dans le pays, théâtre de contestations et de violences depuis mars 2011.
"C'est la responsabilité du gouvernement syrien de garantir la liberté d'accès et la liberté de mouvement dans le pays" aux observateurs de l'ONU, a souligné M. Ban Ki-moon en marge d'une visite officielle au Luxembourg.
Arrivés dimanche en Syrie, les premiers observateurs "devraient être autorisés à se déplacer librement dans n'importe quel endroit pour y être en mesure d'observer la fin des violences", a-t-il souligné. Après un premier groupe de six observateurs, la mission doit s'étoffer "dans les prochains jours" pour comprendre une trentaine d'observateurs. A terme, elle doit être remplacée par une mission onusienne de supervision comprenant 250 hommes, dont le déploiement nécessitera une nouvelle résolution du Conseil de sécurité.
"Le Conseil de sécurité me demande désormais de soumettre une proposition formelle pour une mission de supervision de l'ONU (...) Je le ferai d'ici demain mercredi", a précisé le chef de l'ONU. Mais la situation sur le terrain reste "fragile", a-t-il estimé.
Mardi, au moins deux civils ont été tués dans de nouveaux bombardements de l'armée dans une localité de Deraâ ainsi que dans la province de Homs (centre), selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Luxembourg - Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé mardi les autorités syriennes à garantir une liberté totale de mouvement à la mission d'observateurs chargés de superviser le cessez-le-feu dans le pays, théâtre de contestations et de violences depuis mars 2011. "C'est la responsabilité du gouvernement syrien de garantir la liberté d'accès et la liberté de mouvement dans le pays" aux observateurs de l'ONU, a souligné M. Ban Ki-moon en marge d'une visite officielle au Luxembourg. Arrivés dimanche en Syrie, les premiers observateurs "devraient être autorisés à se déplacer librement dans n'importe quel endroit pour y être en mesure d'observer la fin des violences", a-t-il souligné. Après un premier groupe de six observateurs, la mission doit s'étoffer "dans les prochains jours" pour comprendre une trentaine d'observateurs. A terme, elle doit être remplacée par une mission onusienne de supervision comprenant 250 hommes, dont le déploiement nécessitera une nouvelle résolution du Conseil de sécurité. "Le Conseil de sécurité me demande désormais de soumettre une proposition formelle pour une mission de supervision de l'ONU (...) Je le ferai d'ici demain mercredi", a précisé le chef de l'ONU. Mais la situation sur le terrain reste "fragile", a-t-il estimé. Mardi, au moins deux civils ont été tués dans de nouveaux bombardements de l'armée dans une localité de Deraâ ainsi que dans la province de Homs (centre), selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
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Posté Le : 17/04/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Algérie Presse Service
Source : www.aps.dz