Le Salon de l'emploi revient

Evènement très attendu par la communauté universitaire en général, la troisième édition du Salon de l'emploi s'ouvrira, aujourd'hui mercredi, au niveau du hall du bloc des lettres du campus central de l'université Mentouri de Constantine. Il durera deux jours, les 13 et 14 juin.
Selon un communiqué émanant du service communication du vice-rectorat chargé des relations extérieures, de la coopération, de l'animation et la communication et des manifestations scientifiques de l'université, ce rendez-vous annuel incontournable, dédié au recrutement, réunira une trentaine d'entreprises de tous profils qui envisagent des recrutements dans des métiers et des spécialités diversifiés. Il s'agit, selon les organisateurs, d'une rencontre «en face-à-face avec les recruteurs qui représentent un atout pour l'étudiant ou le diplômé dans sa recherche de l'emploi. Elle lui donnera l'opportunité de se distinguer en vue de convaincre les recruteurs de ses compétences, de sa motivation et augmenter ainsi sa chance d'être recruté».
Contactée, hier, le professeur F. Benabdelaziz, directrice du service de la communication, a ajouté que cet évènement donnera aussi la possibilité aux entreprises de mener de nombreuses activités d'exposition et de présentation de leurs projets ainsi que les emplois qu'ils recèlent et leur mode de recrutement. Les dispositifs de l'emploi, comme l'Ansej, la Cnac et l'Angem, prendront part à ce salon et présenteront aussi leurs dispositifs d'aide aux jeunes prétendant aux crédits afin de lancer leurs propres entreprises. Cette responsable a rappelé enfin que l'édition du salon organisée l'année précédente a connu une affluence considérable qui a témoigné de son impact chez la communauté estudiantine. L'initiative est à mettre à l'actif du centre des carrières dont le leitmotiv est, selon son directeur Ahcène Kaabouche, de favoriser les partenariats actifs en vue d'assurer les relais et passerelles entre le centre des carrières, les milieux universitaires et les employeurs potentiels, et de là améliorer l'employabilité des futurs diplomés en mettant à leur disposition une assistance pouvant adapter leurs compétences aux exigences du marché de l'emploi et répondre aux attentes des organismes recruteurs du secteur socioéconomique.