Algérie

Le Saint Coran, le plus grand des miracles



Le Saint Coran, le plus grand des miracles Il a été établi que le Prophète a informé ses compatriotes d’une vérité et la leur a enseignée, alors que l’expérience a démontré qu’on ne pouvait y parvenir avec les moyens de l’époque. Puis, la science, par la suite, est venue confirmer cette vérité. C’est là un véritable miracle du Coran dans le domaine scientifique. Le texte coranique regorge d’exemples de ce genre et maints versets et sourates sont là pour nous aider à consolider et à affermir la foi chez les êtres humains, comme je l’ai dit auparavant. Ces vérités énoncées et prouvées par la suite démontrent en outre la véracité du message révélé par Dieu à son Prophète. Que dirait-t-on d’une personne versée dans la langue arabe et tout à fait au courant même des secrets de sa rhétorique et de sa grammaire ? On raconte qu’un réfractaire polythéiste, quant il entendit le verset : «proclame ce qui t’est ordonné...» se prosterna. Ses amis crurent qu’il avait accédé à la croyance et s’était converti, mais il leur cria : «Je n’ai point cru, je ne fais que me prosterner par humilité devant cette éloquence». Celui qui ne goutte guère l’esthétique de ce verset ne peut ressentir le même enchantement. C’est donc en formant les gens dans les domaines de la littérature, de la langue et de la rhétorique qu’on peut les amener à saisir toute la beauté et l’esthétique contenue dans le Coran et à se convaincre que de telles paroles ne peuvent émaner que de Dieu. Cette formation étant difficile à atteindre, sauf pour quelques personnes, il nous reste quand même l’alternative du «miracle coranique dans le domaine des sciences», car le Coran aborde bien des questions en rapport avec les sciences. Certaines personnes, par ignorance, soulèvent une question. Ils se demandent si les religions et particulièrement l’Islam, ont un rapport avec les sciences. Nous pensons, disent-ils, que la religion est du domaine de l’inconnu alors que les sciences relèvent du monde sensible et de l’expérimental. Il y a deux semaines seulement, il m’a été donné, par la grâce de Dieu, lors d’un déplacement au Sénégal sur 3 000 kilomètres, de rencontrer des jeunes avec parmi eux des musulmans. Je leur ai rétorqué que cela dépendait de quelle religion il s’agissait. Ils disent qu’on leur a dit que la religion et la révélation appartiennent au domaine métaphysique alors que les sciences dépendent de l’expérience. L’Islam est différent des autres religions. Si, historiquement, il existe des religions qui se sont opposées aux sciences et aux savants et les ont persécutés, il suffit de se rappeler que le premier verset révélé par la doctrine musulmane se trouve être celui-ci : «Lis au nom de ton Seigneur qui a créé ! qui A créé l’homme à partir d’un caillot de sang. Lis ! Car ton Seigneur est le très généreux, qui a enseigné l’homme au moyen du kalam, et lui a appris ce qu’il ignorait» (L’Adhérence, 96.1-5) Cette religion dont les premiers propos s’adressent à un analphabète qui dit : «Je ne sais point lire», lui parle en termes de génétique. Je saisis cette occasion pour vous parler d’une expérience à laquelle j’ai assisté et que j’ai vécue intensément. Sessions, séminaires et rencontres concernant ce qu’on appelle le miracle scientifique sont de plus en plus organisés un peu partout. L’association à laquelle j’appartiens et dont je suis le président, intéressée par les études et les recherches sur l’Islam et le développement, a organisé avec la Ligue du Monde Islamique, à la Mecque, une session concernant le miracle du Coran et de la Tradition du Prophète dans le domaine des sciences. Ont répondu à notre invitation des sommités de sciences contemporaines telles que la médecine, la biologie et autres. Je me souviens que, après avoir clos ces enrichissantes journées, qualifiées par l’un des professeurs participants de merveilleuse ascension vers la foi, nous nous sommes réunis en comité restreint avec le professeur (une sommité en la matière) Kethmor du Canada, Marcel Jhonson des Etats Unis d’Amérique et d’autres. Le professeur Kethmor, le maître incontesté de la génétique à notre époque, nous dit alors que son équipe et lui avaient commencé à faire des recherches dans le Coran et le hadith «afin d’y glaner» des concepts qu’ils espèrent plus justes et plus précis. Ce professeur qui a composé divers ouvrages traduits dans plusieurs langues au profit de nombreuses facultés de médecine, dont un livre sur la formation de l’homme, a recours au Coran pour mieux déterminer les concepts de la génétique. Je lui ai demandé les raisons d’une telle démarche. Il m’a répondu : «Nous définissons les étapes de la formation de l’homme en nous servant de chiffres, nous disons première étape, seconde étape, troisième étape. Or j’ai été surpris de constater que votre Livre parle de «sperme», de «caillot de sang»; de «bouchée», «Nous avons revêtu les os de chair». «Il continua en disant : «j’ai agrandi les images des milliers de fois et je me suis rendu compte que ce que vous appelez ‘’Alaq’’ «caillot de sang», ressemble effectivement à un «caillot de sang» dans la nature, et que la «semence» attachée» à l’utérus est aussi une étape, et cette étape est qualifiée ainsi dans le Coran. Si tu prenais une image de ce que nous avons dans nos livres de médecine, tu te rendrais compte que cela est très proche d’une «bouchée» bien mastiquée. L’image de ce que sera la colonne vertébrale est semblable aux dents d’une personne humaine ayant mastiqué quelque chose. Tels sont les fruits des miracles coraniques de la science, si la recherche est menée selon les normes qui s’imposent sans blasphème et sans hâte, sous l’égide des Oulémas de l’Islam, des exégètes, des experts et par ceux qui ne cherchent pas une gloire éphémère. A ce moment-là, et selon le sens de l’histoire, nous pouvons atteindre ce qui pourrait consolider l’Islam. Les versets coraniques corroborent cette tendance, ce qui ne peut qu’apaiser nos cœurs et renforcer nos convictions. Dieu le Très-Haut dit : «Dis : quelle preuve plus certaine pourrait-on apporter comme témoignage ?» «Dis : Dieu est témoin entre moi et vous. Ce Coran m’a été révélé pour que je vous avertisse, vous et ceux auxquels il est parvenu». (Les Troupeaux – 6. 20)   Suite et fin Pr Ibrahim Mohamed Joub  


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