Les carences dont souffrent les écoles primaires, notamment celles se trouvant dans les zones rurales, sont innombrables. La gestion des APC de ce volet a montré ses limites.
« Faut-il attendre qu'un malheur arrive à nos enfants pour réagir ' Ne dit-on pas que le grand malheur est que la justice des hommes intervient trop tard ' » Ce sont les propos d'un parent d'élève dépité de l'école Chenouf Ramdhan qui a pris attache avec El Watan pour attirer l'attention des autorités quant au danger patent qui menace la vie des écoliers. Le bloc ouest de la bâtisse où sont scolarisés ces derniers présente des fissures et des lézardes à la base qui suscitent vraiment de l'inquiétude, à première vue, bien qu'on est pas expert des CTC pour être catégorique.Renseignements pris, il semble que l'enveloppe allouée par l'Etat, dans le cadre du programme TUP-HIMO (travaux d'utilité publique) pour la restauration de deux écoles primaires de la ville de Ras El Oued, dont celle de Chenouf.R, n'a pas du tout emballé les entrepreneurs auxquels l'on a confié le projet, car, à ce jour, rien n'a été fait. Informé de l'état catastrophique des lieux, le wali, qui s'est montré très préoccupé du devenir de l'éducation, a instruit le chef de daïra, à travers une correspondance portant les références 615/2008 du 09/11/2008, de le tenir informé des mesures prises.La vétusté de l'administration et des toilettes, ainsi que l'état caillouteux de la cour à l'origine de plusieurs accidents sont autant de problèmes qui suscitent l'appréhension des parents.
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Posté Le : 03/12/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : Aek D.
Source : www.elwatan.com