Le réveil de l'opposition

L'opposition veut passer à l'offensive. Elle promet en effet d'intensifier son action sur le terrain afin de mettre à nu les visées du pouvoir. Un pouvoir auquel elle ne fait plus aucune confiance, ce d'autant qu'il se refuse, en dépit de la crise, à toute ouverture démocratique.L'opposition veut passer à l'offensive. Elle promet en effet d'intensifier son action sur le terrain afin de mettre à nu les visées du pouvoir. Un pouvoir auquel elle ne fait plus aucune confiance, ce d'autant qu'il se refuse, en dépit de la crise, à toute ouverture démocratique.La coordination pour les libertés et la transition démocratique(CLTD) affûte ses armes. Elle compte lancer une vaste offensive de charme en direction des Algériens. Dès les prochains jours elle promet un redéploiement tous azimuts sur le terrain. Les membres de cette coordination, qui regroupe des partis politiques et des personnalités, ont ainsi convenu d'initier une vaste campagne de sensibilisation en direction des citoyens.Des meetings et des rencontres de proximité seront ainsi organisés dans les prochains jours. Et même si les dates n'ont pas été divulguées cette présence sur le terrain se concrétisera avant la fin du mois d'octobre. La CLTS promet, dans le communiqué rendu public hier et qui a fait suite à la rencontre tenue au siège du MSP, une présence accrue au niveau des médias et des réseaux sociaux. En somme tous les moyens seront bons à exploiter pour faire passer le message.La CLTD ne dit pas de quelle manière elle va mener cette offensive puisque ni le communiqué, ni la déclaration aux medias de Abderazak Makri ne livre plus de détails sur cette question. On sait tout simplement que les meetings et les rencontres de proximité seront menés « collectivement » ou « au niveau de chaque parti ». Ce n'est pas la première fois que la CLTD initie de telles actions puisque cela a été fait par le passé. En effet, tant à Alger ou dans d'autres villes du pays, les animateurs de cette coordination ont en effet organisé collectivement des meetings et des rencontres de proximité.Ce actions n'étaient pas légion il est vrai, mais elles ont le mérite d'avoir été initiées. Avec cette prochaine intensification de son action sur le terrain, la CLTD passe, incontestablement, à un autre stade puisque elle veut apparemment interpeller directement les Algériens sur la crise qui secoue le pays et les solutions qu'elle a proposées . Car pour la CLTD, le pays est dans l'impasse par la faute dupouvoir.Le communiqué estime en effet que le système « ne fait que s'enfoncer dans sa crise, en dépit des grandes mutations sui ont été opérées en son sein ».De plus la CLTD pointe du doigt « le refus du pouvoir de consentir à une instance de surveillance des élections » et considère que cela constitue « la preuve éclatante que le pouvoir s'obstine à continuer sur la voie de l'hégémonie et de l'unilatéralisme, et à redessiner la carte politique à sa guise». Pour la CLTD la conclusion est toute simple :« Le système n'a aucune disponibilité à accepter une transition démocratique négociée permettant aux Algériens de sauver leur pays des tensions sociales induites par le revers économiques qui sont le résultat de l'échec et de la corruption du système politique ».Cela dit, Abderazak Makri a annoncé une prochaine réunion de l'instance de coordination e de suivi de l'opposition (ICSO).Une instance qui regroupe toutes les composantes de l'opposition ; c'est à l'issue de cette rencontre, comme l'a indiqué le chef du MSP , que les choses se préciseront davantage s'agissant des actions à mener.La coordination pour les libertés et la transition démocratique(CLTD) affûte ses armes. Elle compte lancer une vaste offensive de charme en direction des Algériens. Dès les prochains jours elle promet un redéploiement tous azimuts sur le terrain. Les membres de cette coordination, qui regroupe des partis politiques et des personnalités, ont ainsi convenu d'initier une vaste campagne de sensibilisation en direction des citoyens.Des meetings et des rencontres de proximité seront ainsi organisés dans les prochains jours. Et même si les dates n'ont pas été divulguées cette présence sur le terrain se concrétisera avant la fin du mois d'octobre. La CLTS promet, dans le communiqué rendu public hier et qui a fait suite à la rencontre tenue au siège du MSP, une présence accrue au niveau des médias et des réseaux sociaux. En somme tous les moyens seront bons à exploiter pour faire passer le message.La CLTD ne dit pas de quelle manière elle va mener cette offensive puisque ni le communiqué, ni la déclaration aux medias de Abderazak Makri ne livre plus de détails sur cette question. On sait tout simplement que les meetings et les rencontres de proximité seront menés « collectivement » ou « au niveau de chaque parti ». Ce n'est pas la première fois que la CLTD initie de telles actions puisque cela a été fait par le passé. En effet, tant à Alger ou dans d'autres villes du pays, les animateurs de cette coordination ont en effet organisé collectivement des meetings et des rencontres de proximité.Ce actions n'étaient pas légion il est vrai, mais elles ont le mérite d'avoir été initiées. Avec cette prochaine intensification de son action sur le terrain, la CLTD passe, incontestablement, à un autre stade puisque elle veut apparemment interpeller directement les Algériens sur la crise qui secoue le pays et les solutions qu'elle a proposées . Car pour la CLTD, le pays est dans l'impasse par la faute dupouvoir.Le communiqué estime en effet que le système « ne fait que s'enfoncer dans sa crise, en dépit des grandes mutations sui ont été opérées en son sein ».De plus la CLTD pointe du doigt « le refus du pouvoir de consentir à une instance de surveillance des élections » et considère que cela constitue « la preuve éclatante que le pouvoir s'obstine à continuer sur la voie de l'hégémonie et de l'unilatéralisme, et à redessiner la carte politique à sa guise». Pour la CLTD la conclusion est toute simple :« Le système n'a aucune disponibilité à accepter une transition démocratique négociée permettant aux Algériens de sauver leur pays des tensions sociales induites par le revers économiques qui sont le résultat de l'échec et de la corruption du système politique ».Cela dit, Abderazak Makri a annoncé une prochaine réunion de l'instance de coordination e de suivi de l'opposition (ICSO).Une instance qui regroupe toutes les composantes de l'opposition ; c'est à l'issue de cette rencontre, comme l'a indiqué le chef du MSP , que les choses se préciseront davantage s'agissant des actions à mener.