Algérie

Le remboursement ne se fait plus au forceps



Le remboursement ne se fait plus au forceps
Des responsables de la Cnac et de l'Ansej ont affirmé que le taux de remboursement des crédits accordés aux jeunes est relativement satisfaisant. La situation tend à se normaliser en faveur de plus de souplesse pour ceux qui ont des dossiers en contentieux.Des responsables de la Cnac et de l'Ansej ont affirmé que le taux de remboursement des crédits accordés aux jeunes est relativement satisfaisant. La situation tend à se normaliser en faveur de plus de souplesse pour ceux qui ont des dossiers en contentieux.Selon un bilan dressé par la direction générale de l'Ansej, le taux de remboursement des crédits accordés aux jeunes opérateurs est en train d'augmenter où une moyenne de 63 % a été retenue. Les contentieux sont moins nombreux a affirmé dernièrement le DG de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes, Mohamed Chaâlal dans une déclaration à la presse. Les nouvelles directives concernant le remboursement des crédits obtenus pour financer les projets de l'Ansej ont été appliquées avec plus de rigueur qu'auparavant.Les prêteurs sont dans l'obligation de se conformer aux échéanciers de remboursement au niveau de toutes les agences bancaires. Le suivi de ces opérations est assuré, selon une source bancaire, par des équipes qui sont chargées de veiller à la conformité des dossiers. On parle dès lors de milliers de ces jeunes porteurs de projets, qui pour une raison ou une autre ne se plient pas aux procédures de remboursement.Aujourd'hui, est-il indiqué, le recours à la force publique pour obliger les prêteurs à rembourser leur dû ne se fait qu'après avoir constaté que certains récalcitrants trouvent des ruses pour ne pas payer.Il faut rappeler que les deux dispositifs de soutien à l'emploi des jeunes ont permis à plus de 570.000 personnes de créer leurs micro-entreprises. Le transport qui représentait le créneau juteux pour ces jeunes n'est plus de mise, car le nombre de projets a dépassé le seuil fixé par les instances qui orientent plutôt les porteurs de projets à s'intéresser à d'autres domaines. Dans ce cadre bien précis, les banques publiques ont pu financer de 2012 à 2014 plus de 90.000 dossiers dans différents secteurs tels que le BTPH, services, distribution...Bien plus, les deux dispositifs accordent actuellement autant de facilités pour les jeunes futurs créateurs d'entreprises à savoir la prise en charge totale des intérêts sur les prêts bancaires et une exonération fiscale de l'IRG, IBS et TAP pour une période de 6 ans pour les Hauts-Plateaux et 10 ans pour ceux qui sont concentrés au Sud.Ces facilités, affirment les responsables de ces deux dispositifs vont encourager les jeunes chômeurs à mieux mener la bataille pour la réalisation de leurs projets. Par ailleurs, les pouvoirs publics sont entrain de réfléchir à d'autres domaines où ils peuvent insérer les jeunes chômeurs dans de nouvelles activités. On pense notamment à l'agriculture et à l'élevage qui peuvent présenter les opportunités de demain.Selon un bilan dressé par la direction générale de l'Ansej, le taux de remboursement des crédits accordés aux jeunes opérateurs est en train d'augmenter où une moyenne de 63 % a été retenue. Les contentieux sont moins nombreux a affirmé dernièrement le DG de l'Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes, Mohamed Chaâlal dans une déclaration à la presse. Les nouvelles directives concernant le remboursement des crédits obtenus pour financer les projets de l'Ansej ont été appliquées avec plus de rigueur qu'auparavant.Les prêteurs sont dans l'obligation de se conformer aux échéanciers de remboursement au niveau de toutes les agences bancaires. Le suivi de ces opérations est assuré, selon une source bancaire, par des équipes qui sont chargées de veiller à la conformité des dossiers. On parle dès lors de milliers de ces jeunes porteurs de projets, qui pour une raison ou une autre ne se plient pas aux procédures de remboursement.Aujourd'hui, est-il indiqué, le recours à la force publique pour obliger les prêteurs à rembourser leur dû ne se fait qu'après avoir constaté que certains récalcitrants trouvent des ruses pour ne pas payer.Il faut rappeler que les deux dispositifs de soutien à l'emploi des jeunes ont permis à plus de 570.000 personnes de créer leurs micro-entreprises. Le transport qui représentait le créneau juteux pour ces jeunes n'est plus de mise, car le nombre de projets a dépassé le seuil fixé par les instances qui orientent plutôt les porteurs de projets à s'intéresser à d'autres domaines. Dans ce cadre bien précis, les banques publiques ont pu financer de 2012 à 2014 plus de 90.000 dossiers dans différents secteurs tels que le BTPH, services, distribution...Bien plus, les deux dispositifs accordent actuellement autant de facilités pour les jeunes futurs créateurs d'entreprises à savoir la prise en charge totale des intérêts sur les prêts bancaires et une exonération fiscale de l'IRG, IBS et TAP pour une période de 6 ans pour les Hauts-Plateaux et 10 ans pour ceux qui sont concentrés au Sud.Ces facilités, affirment les responsables de ces deux dispositifs vont encourager les jeunes chômeurs à mieux mener la bataille pour la réalisation de leurs projets. Par ailleurs, les pouvoirs publics sont entrain de réfléchir à d'autres domaines où ils peuvent insérer les jeunes chômeurs dans de nouvelles activités. On pense notamment à l'agriculture et à l'élevage qui peuvent présenter les opportunités de demain.




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