La Constitution vénézuélienne a prévu aux articles 70 et 71 une dispositionpermettant au peuple de prendre la parole pour exprimer ce qu'ilpense d'une situation que les pouvoirs existants n'arrivent pas à résoudre.La Constitution vénézuélienne a prévu aux articles 70 et 71 une dispositionpermettant au peuple de prendre la parole pour exprimer ce qu'ilpense d'une situation que les pouvoirs existants n'arrivent pas à résoudre.
La voix du peuple, dans cette Constitution, est l'expression du pouvoir suprême auquel tous les autres pouvoirs doivent se soumettre. C'est ce que la Constitution vénézuélienneappelle la démocratie participative.Le 15 mai dernier a été initiéel'Alliance pour la tenue duRéférendum consultatif (ARC)comme prévu dans la Constitutionnationale. Cette initiative émerge de partis d'opposition qui se démarquentcomplètement du parti radicalau service des intérêts de Washington. Leurs raisons d'être prennent racine dans les intérêts du peuple et leur objectif est de servirces intérêts. Ces partis politiques, à caractère nationaliste, participentégalement aux négociations qui se réalisent présentement à OSLO entrele gouvernement et les divers partis d'opposition.
Il faut noter que pour le parti radical, celui qui répond aux intérêts deWashington, la seule issue envisageablepour ces négociations est que leprésident Nicolas Maduro donne sadémission et qu'il ne participe pasaux nouvelles élections présidentielles.Il s'agit d'un ultimatum quin'a aucune chance de succès. NicolasMaduro a été élu président le 20 mai2018 et demeure le Président officiellementreconnu par les Nations unies et les 144 Etats membres del'Assemblée générale qui n'ont passuivi les directives de Washington.L'Alliance pour le Référendum consultatif a écrit une lettre à l'ambassadeurde Norvège pour que le référendum consultatif soit pris en compte dans les présentes négociations,entre le gouvernement et l'opposition. Dans cette missive, ils précisent certains paramètres.Cet appel pour la tenue d'un référendumconsultatif tel que prévu à laConstitution ainsi que les paramètrestels qu'énoncés n'est pas de nature àplaire à l'opposition radicale au service des intérêts de Washington.
Ce n'est pas pour rien s'ils ont commencé à proclamer que ces négociationsà Oslo avaient pris fin, ce qui n'est évidemment pas le cas. L'opposition modérée au service des intérêts du Venezuela n'a pas renoncéà ces échanges et se propose à ce que la voix du peuple puisse se faireentendre.Il suffit de 1.800.000 signatures ou 10 % des électeurs et électrices inscritesau registre électoral, pour donner suite à ce référendum. Si l'opposition modérée et le gouvernement s'entendent sur ce référendum et les paramètres exigés, ces signatures seront vite recueillies.
La voix du peuple, dans cette Constitution, est l'expression du pouvoir suprême auquel tous les autres pouvoirs doivent se soumettre. C'est ce que la Constitution vénézuélienneappelle la démocratie participative.Le 15 mai dernier a été initiéel'Alliance pour la tenue duRéférendum consultatif (ARC)comme prévu dans la Constitutionnationale. Cette initiative émerge de partis d'opposition qui se démarquentcomplètement du parti radicalau service des intérêts de Washington. Leurs raisons d'être prennent racine dans les intérêts du peuple et leur objectif est de servirces intérêts. Ces partis politiques, à caractère nationaliste, participentégalement aux négociations qui se réalisent présentement à OSLO entrele gouvernement et les divers partis d'opposition.
Il faut noter que pour le parti radical, celui qui répond aux intérêts deWashington, la seule issue envisageablepour ces négociations est que leprésident Nicolas Maduro donne sadémission et qu'il ne participe pasaux nouvelles élections présidentielles.Il s'agit d'un ultimatum quin'a aucune chance de succès. NicolasMaduro a été élu président le 20 mai2018 et demeure le Président officiellementreconnu par les Nations unies et les 144 Etats membres del'Assemblée générale qui n'ont passuivi les directives de Washington.L'Alliance pour le Référendum consultatif a écrit une lettre à l'ambassadeurde Norvège pour que le référendum consultatif soit pris en compte dans les présentes négociations,entre le gouvernement et l'opposition. Dans cette missive, ils précisent certains paramètres.Cet appel pour la tenue d'un référendumconsultatif tel que prévu à laConstitution ainsi que les paramètrestels qu'énoncés n'est pas de nature àplaire à l'opposition radicale au service des intérêts de Washington.
Ce n'est pas pour rien s'ils ont commencé à proclamer que ces négociationsà Oslo avaient pris fin, ce qui n'est évidemment pas le cas. L'opposition modérée au service des intérêts du Venezuela n'a pas renoncéà ces échanges et se propose à ce que la voix du peuple puisse se faireentendre.Il suffit de 1.800.000 signatures ou 10 % des électeurs et électrices inscritesau registre électoral, pour donner suite à ce référendum. Si l'opposition modérée et le gouvernement s'entendent sur ce référendum et les paramètres exigés, ces signatures seront vite recueillies.
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Posté Le : 08/06/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com