Photo : Riad
C'est une opération fort indispensable pour cerner les potentialités de la wilaya en ce qui concerne les investissements. Evoqué à chaque événement économique, le foncier industriel aura cumulé de nombreuses irrégularités et beaucoup de zones d'ombre sur les attributions qui sont restées sans suite, vu le nombre réduit des projets matérialisés. Une cause parmi d'autres qui incite les responsables à aller droit au but pour en finir avec ces mètres carrés non identifiés du moins par rapport à leur activité. Deux grandes zones d'activité sont en phase d'étude. «Les entraves du foncier seront désormais de l'histoire ancienne». Selon le wali. On n'en est pas là encore. Cela dit, une épuration en amont devrait avoir lieu pour rendre favorable et sans bavures les futures perspectives d'investissement dans cette wilaya «rebuffade» quand il s'agit de lui proposer une maquette grandiose' Pour mettre un terme aux aires dilapidées, la direction de la promotion des investissements compte élaborer une banque de données pour cerner les réelles potentialités d'investissement, alors que les statistiques restent en quête de mises à jour. «On doit récolter le portefeuille du potentiel à travers toutes les communes», propose M. Achouri, directeur des investissements. «Les zones d'activité, les zones industrielles devraient se soumettre à une opération détaillée résumant l'état de chaque parcelle. En activité, attribuée ou en attente de l'être, chaque espace doit être identifié pour être revalorisé», devait-il insister. Un autre point et non pas des moindres serait à l'étude. Il a trait aux activités résiduelles qui, selon la loi de finances 2011, seraient du domaine public. Pour ce cas, l'Aniref et la wilaya devront apporter chacune leur paraphe pour les réorganiser en vue d'une éventuelle réattribution. Du moins, ces points seront présentés incessamment au chef de l'exécutif.
Posté Le : 31/10/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : N H
Source : www.latribune-online.com