Algérie

Le quitus du Conseil des ministres



L'espoir nourri par certains de voir le Conseil des ministres différer l'examen du projet de loi sur les hydrocarbures s'est évaporé.L'espoir nourri par certains de voir le Conseil des ministres différer l'examen du projet de loi sur les hydrocarbures s'est évaporé.
E n effet, le projet de loi en question, qui a suscité moult polémiques, a été examiné et adopté hier, par le Conseil des ministres lors d'une réunion présidée par le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah. Il en a été de même pour le Projet de loi de finances 2020 (PLF). Plus sans doute que le PLF, c'est surtout le projet de loi sur les hydrocarbures qui a focalisé toute l'attention de l'opinion publique et des observateurs.
Et c'est tout a fait normal et logique, puisque l'économie nationale est essentiellement basée sur le pétrole et le gaz, dont la vente constitue la principale, sinon la seule, ressource en devises pour le pays. D'où, à l'évidence, ce grand intérêt manifesté par les Algériens, dont une bonne partie a fait montre de sa colère, en revendiquant le retrait pur et simple du projet de loi. Des experts ont aussi espéré que le gouvernement diffère l'examen de ce projet controversé. Des leaders politiques ont emboité le pas, en appelant le gouvernement à retirer le projet de loi. Ce dernier a suscité l'opposition de larges pans de la société, comme cela s'est vérifié hier. En effet, plusieurs marches et rassemblements ont eu lioue un peu partout sur l'ensemble du territoire national, dans l'espoir de peser sur le cours des événements, mais c'était compter sans la détermination du gouvernement qui a finalement adopté le texte en Conseil des ministres.
Le projet doit maintenant être soumis au Parlement pour examen et adoption. C'est dire, que la balle est maintenaient dans le camp des députés et des sénateurs. Pour le PLF 2020 et en dépit de la crise financière, le gouvernement a évité de toucher aux transferts sociaux pour épargner les couches populaires dont le pouvoir d'achat est déjà assez laminé. Ce projet de loi qui garde le taux de la TVA à 19%, contient une disposition importante, à savoir l'autorisation d'importation des véhicules de moins de trois ans, histoire de produire un effet de "dumping " sur le marché local du véhicule
E n effet, le projet de loi en question, qui a suscité moult polémiques, a été examiné et adopté hier, par le Conseil des ministres lors d'une réunion présidée par le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah. Il en a été de même pour le Projet de loi de finances 2020 (PLF). Plus sans doute que le PLF, c'est surtout le projet de loi sur les hydrocarbures qui a focalisé toute l'attention de l'opinion publique et des observateurs.
Et c'est tout a fait normal et logique, puisque l'économie nationale est essentiellement basée sur le pétrole et le gaz, dont la vente constitue la principale, sinon la seule, ressource en devises pour le pays. D'où, à l'évidence, ce grand intérêt manifesté par les Algériens, dont une bonne partie a fait montre de sa colère, en revendiquant le retrait pur et simple du projet de loi. Des experts ont aussi espéré que le gouvernement diffère l'examen de ce projet controversé. Des leaders politiques ont emboité le pas, en appelant le gouvernement à retirer le projet de loi. Ce dernier a suscité l'opposition de larges pans de la société, comme cela s'est vérifié hier. En effet, plusieurs marches et rassemblements ont eu lioue un peu partout sur l'ensemble du territoire national, dans l'espoir de peser sur le cours des événements, mais c'était compter sans la détermination du gouvernement qui a finalement adopté le texte en Conseil des ministres.
Le projet doit maintenant être soumis au Parlement pour examen et adoption. C'est dire, que la balle est maintenaient dans le camp des députés et des sénateurs. Pour le PLF 2020 et en dépit de la crise financière, le gouvernement a évité de toucher aux transferts sociaux pour épargner les couches populaires dont le pouvoir d'achat est déjà assez laminé. Ce projet de loi qui garde le taux de la TVA à 19%, contient une disposition importante, à savoir l'autorisation d'importation des véhicules de moins de trois ans, histoire de produire un effet de "dumping " sur le marché local du véhicule


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