Algérie

Le protocole sanitaire signé



Un protocole sanitaire pour le référendum sur la révision constitutionnelle, prévu le 1er novembre prochain, a été signé mardi à Alger, en vue de prévenircontre la propagation du nouveau oronavirus.Un protocole sanitaire pour le référendum sur la révision constitutionnelle, prévu le 1er novembre prochain, a été signé mardi à Alger, en vue de prévenircontre la propagation du nouveau oronavirus.
Ce protocole a été signé par le président de l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie), Mohamed Charfi et le ministre de laSanté, de la Population et de la Réforme hospitalière,Abderrahmane Benbouzid en présence du ministre délégué auprès du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, chargé de la Réforme hospitalière, Smaïl Mesbah et du président du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH), Bouzid Lazhari, outre les membres du Comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie du nouveau coronavirus.
A cette occasion, M. Charfi a mis l'accent sur l'importance du rendez-vous de révision constitutionnelle qui s'inscrit, a-t-il dit, "dans le cadre de la dynamique de changement et d'accroissement de l'espoir pour l'édification de l'Algérie nouvelle", mettant en exergue "les pas franchis par le pays, en dépit de la pandémie de la Covid-19 ayant entravé la poursuite des projets". Pour le président de l'Anie, la "révisionde la Constitution n'est pas chose facile, au vu de son contenu civilisationnel dans l'édification des institutions de l'Algérie, valorisant, par là même, la signature de ce protocole sanitaire qui régira la gestion et l'organisation du référendum surle projet de révision constitutionnelle, prévu le 1er novembre prochain".
Ce protocole est à même de réaliser la complémentarité et la coordination "entre l'Anie et les institutions de l'Etat", en sus de la garantie de la sécurité de l'organisation du référendum. Par ailleurs, il a assuré que toutes les conditions "sont réunies pour permettre aux citoyens d'accomplir leur devoir électoral lors de ce rendez-vous qui constitue la clé pour l'avenir dans l'édification de l'Algérie nouvelle". De son côté, le ministre de la Santé a estimé que "la conjoncture exceptionnelle que traverse l'Algérie qui verra bientôt la pose d'un nouveau jalon qui définira les perspectives futures, à travers une nouvelle Constitution instaurant un Etat fort au service du citoyen".
Il a rappelé le suivi et la garantie de toutes les facilitations permettant la prise en charge et l'organisation du référendumdans les meilleures conditions, d'autant que le protocole proposé parl'Anie "a été approuvé par le Conseil scientifique placé sous la tutelle du ministère de laSanté".Il a affirmé que son département mobilisera "tous les moyens nécessaires et l'appui matériel pour la réussite de ce rendez-vous", appelant le personnel de lasanté à coordonner avec les services concernés en prévision de ce référendum. La membre de l'Anie, Louz Souria a, quant à elle, présenté un exposé détaillé sur toutes les étapes du déroulement duréférendum.
Ce protocole a été signé par le président de l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie), Mohamed Charfi et le ministre de laSanté, de la Population et de la Réforme hospitalière,Abderrahmane Benbouzid en présence du ministre délégué auprès du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, chargé de la Réforme hospitalière, Smaïl Mesbah et du président du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH), Bouzid Lazhari, outre les membres du Comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie du nouveau coronavirus.
A cette occasion, M. Charfi a mis l'accent sur l'importance du rendez-vous de révision constitutionnelle qui s'inscrit, a-t-il dit, "dans le cadre de la dynamique de changement et d'accroissement de l'espoir pour l'édification de l'Algérie nouvelle", mettant en exergue "les pas franchis par le pays, en dépit de la pandémie de la Covid-19 ayant entravé la poursuite des projets". Pour le président de l'Anie, la "révisionde la Constitution n'est pas chose facile, au vu de son contenu civilisationnel dans l'édification des institutions de l'Algérie, valorisant, par là même, la signature de ce protocole sanitaire qui régira la gestion et l'organisation du référendum surle projet de révision constitutionnelle, prévu le 1er novembre prochain".
Ce protocole est à même de réaliser la complémentarité et la coordination "entre l'Anie et les institutions de l'Etat", en sus de la garantie de la sécurité de l'organisation du référendum. Par ailleurs, il a assuré que toutes les conditions "sont réunies pour permettre aux citoyens d'accomplir leur devoir électoral lors de ce rendez-vous qui constitue la clé pour l'avenir dans l'édification de l'Algérie nouvelle". De son côté, le ministre de la Santé a estimé que "la conjoncture exceptionnelle que traverse l'Algérie qui verra bientôt la pose d'un nouveau jalon qui définira les perspectives futures, à travers une nouvelle Constitution instaurant un Etat fort au service du citoyen".
Il a rappelé le suivi et la garantie de toutes les facilitations permettant la prise en charge et l'organisation du référendumdans les meilleures conditions, d'autant que le protocole proposé parl'Anie "a été approuvé par le Conseil scientifique placé sous la tutelle du ministère de laSanté".Il a affirmé que son département mobilisera "tous les moyens nécessaires et l'appui matériel pour la réussite de ce rendez-vous", appelant le personnel de lasanté à coordonner avec les services concernés en prévision de ce référendum. La membre de l'Anie, Louz Souria a, quant à elle, présenté un exposé détaillé sur toutes les étapes du déroulement duréférendum.


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