Placée sous le signe « la contribution financière et la gestion participative », une rencontre de deux jours sur la conservation de la biodiversité, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en ?uvre de la contribution financière nationale conforme aux engagements de l'Etat algérien fixés au plan du projet susceptibles de répondre aux exigences de la gestion, notamment celles afférentes à l'adhésion des acteurs locaux en vue de mettre en ?uvre les programmes et activités déterminant les objectifs assignés à ce projet, a été organisée.Salah Amokrane, directeur du projet, a indiqué que cet atelier permettra d'examiner les modalités de développement d'une approche participative avec les personnels et acteurs concernés par la mise en ?uvre des programmes de développement environnemental, d'asseoir une stratégie de développement durable en adéquation avec les exigences de la préservation du patrimoine environnemental culturel des deux parcs culturels du Tassili N'Ajjer et de l'Ahaggar, et de mettre en place un système d'engagements flexibles impliquant le concours des secteurs concernés. Dans son intervention, l'assistante technique à l'unité centrale de gestion du projet, Wafa Ammoura, a indiqué que la contribution de l'Etat algérien dans ce projet porte sur une enveloppe de 20 millions dollars de la valeur globale du projet estimée à 26 millions de dollars.Le chargé du suivi du projet au sein de la même instance, Brahim Hessas, a, dans sa communication intitulée « le développement environnemental et la gestion participative dans le projet en question », a mis en exergue la nécessaire implication des citoyens des régions concernées par le projet, soutenant que « la méthode de gestion participative nécessite l'association aussi bien des parcs culturels que de la population ». Le représentant du ministère des Affaires étrangères, Tewfik Mahi, a, de son côté, précisé que la mission de son département ministériel dans ce projet consiste en la coordination entre le réseau gérant du projet, notamment en matière d'orientation, composé des ministères de la Culture, des Affaires étrangères et du programme des Nations unies pour le développement (PNUD).L'atelier sera mis à profit pour signer des conventions de gestion participative des sites prioritaires des parcs culturels du Tassili N'Ajjer, dont ceux de Tihoudine, Madak et la zone humide d'Ihrir, a indiqué le directeur du projet. Les travaux de cet atelier se déroulent en présence des représentants des ministères des Affaires étrangères, de la Culture, de l'Intérieur et des Collectivités locales, des Finances, de la Communication, de l'Enseignement et de la Formation professionnels, de la Direction générale des forêts, du Centre national de recherches forestières et des représentants des parcs culturels en Algérie.
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Posté Le : 21/12/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Horizons
Source : www.horizons-dz.com