Algérie

Le projet reste bloqué



Le projet reste bloqué
Le projet de l'usine Peugeot Algérie reste bloqué au jour d'aujourd'hui. La rencontre, tenue la semaine dernière entre les deux parties, n'a pas permis d'aplanir les différends.Le projet de l'usine Peugeot Algérie reste bloqué au jour d'aujourd'hui. La rencontre, tenue la semaine dernière entre les deux parties, n'a pas permis d'aplanir les différends.Le ministre de l'Industrie et des Mines qui en a fait l'annonce, devant un parterre de journalistes en marge de la signature de deux accords entre le Groupe cimentier Gica et le groupe chinois Sinoma, a précisé que les discussions se poursuivront dans l'espoir de "trouver un terrain d'entente".L'Algérie, soulignera encore Bouchouareb, "défend ses intérêts, tout comme l'autre partie défend les siens". Sur le registre de la crise dans le secteur automobile en Algérie cristallisé par la réduction des importations des véhicules estimée par le Cnis à plus de 70 % rien que sur les quatre premiers mois de l'année et les plans de départs volontaires d'ores et déjà annoncés chez certains concessionnaires, Bouchouareb a tenté d'apporter sa propre réponse. Les licenciements font "partie de la vie des entreprises", a-t-il souligné.Ce n'est pas propre à l'Algérie, ajoute-t-il, avant d'expliquer "quand l'activité ralentit, une entreprise est amenée à réduire ses effectifs". Voulant apporter une note d'espoir, tout de même, il dira que "la reprise de l'activité permettra de recréer des emplois". Pour rappel, la signature de l'accord de réalisation d'une usine Peugeot en Algérie, initialement prévue pour le 10 avril lors de la 3ème session du Comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français (CIHN), a été reportée.A ce moment-là certains observateurs avaient imputé le report de la signature de l'usine à la crise qui avaient marquée la visite du Premier ministre français suite à la publication de la photo du chef de l'Etat sur la Une du journal Le Monde. Une photo qui avait illustrée le dossier relatif au scandale financier planétaire communément appelé les Panama papers et que les autorités algériennes avaient jugé attentatoire au prestige du chef de l'Etat.Le ministre de l'Industrie et des Mines qui en a fait l'annonce, devant un parterre de journalistes en marge de la signature de deux accords entre le Groupe cimentier Gica et le groupe chinois Sinoma, a précisé que les discussions se poursuivront dans l'espoir de "trouver un terrain d'entente".L'Algérie, soulignera encore Bouchouareb, "défend ses intérêts, tout comme l'autre partie défend les siens". Sur le registre de la crise dans le secteur automobile en Algérie cristallisé par la réduction des importations des véhicules estimée par le Cnis à plus de 70 % rien que sur les quatre premiers mois de l'année et les plans de départs volontaires d'ores et déjà annoncés chez certains concessionnaires, Bouchouareb a tenté d'apporter sa propre réponse. Les licenciements font "partie de la vie des entreprises", a-t-il souligné.Ce n'est pas propre à l'Algérie, ajoute-t-il, avant d'expliquer "quand l'activité ralentit, une entreprise est amenée à réduire ses effectifs". Voulant apporter une note d'espoir, tout de même, il dira que "la reprise de l'activité permettra de recréer des emplois". Pour rappel, la signature de l'accord de réalisation d'une usine Peugeot en Algérie, initialement prévue pour le 10 avril lors de la 3ème session du Comité intergouvernemental de haut niveau algéro-français (CIHN), a été reportée.A ce moment-là certains observateurs avaient imputé le report de la signature de l'usine à la crise qui avaient marquée la visite du Premier ministre français suite à la publication de la photo du chef de l'Etat sur la Une du journal Le Monde. Une photo qui avait illustrée le dossier relatif au scandale financier planétaire communément appelé les Panama papers et que les autorités algériennes avaient jugé attentatoire au prestige du chef de l'Etat.


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