Algérie

Le professionnalisme en débat le 24 février



Le professionnalisme en débat le 24 février
Tahmi et Raouraoua se penchent de nouveau sur la gestion du football algérienLors de cette première réunion, il sera question notamment de débattre du statut particulier des clubs réclamé par leurs présidents.La commission de coordination MJS-FAF-Clubs, créée avant-hier lors de la rencon-tre qui a regroupé le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi, avec le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, et les présidents des clubs des deux Ligues professionnelles, tiendra sa première réunion le 24 février prochain, a-t-on appris hier auprès d'un membre du bureau exécutif de l'association des clubs professionnels.Lors de cette première réunion, il sera question notamment de débattre du statut particulier des clubs réclamé par leurs présidents selon, Mohamed El Moro, le premier responsable de l'ASM Oran. «Le ministre s'est montré compréhensif au sujet de notre revendication de doter les clubs professionnels d'un statut particulier.Cela s'est traduit d'ailleurs par la création de cette commission regroupant des représentants de son département, de la FAF et des clubs», a déclaré El Moro. Transformé en sociétés sportives par actions (SSA) depuis l'été 2010, les clubs professionnels des deux Ligues estiment que leurs nouvelles entités ne peuvent être régies par le code du commerce, comme c'est le cas jusque-là. «Moi, j'ai toujours dit que réglementairement les SSA ne sont pas régies par le code du commerce, comme on nous l'a fait croire pendant quatre années. Ce n'est que cette fois-ci que tout le monde en a pris conscience, ce qui rend légitime notre revendication de bénéficier d'un statut particulier», a encore expliqué El Moro.Il a fait savoir, en outre, qu'en attendant que la nouvelle commission trouve une solution à cette problématique, toutes les obligations recommandées par le code du commerce envers les SSA, notamment en matière des charges relatives aux services des impôts et de la sécurité sociale sont «gelées».Les clubs algériens ne se sont pas acquittés de leurs redevances envers les deux services en question depuis le passage du sport roi dans le pays au mode professionnel. Cela a engendré des dettes importantes que le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Tahmi, avait prévu, dans un premier temps de les régler en payant des sommes forfaitaires.




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