Algérie

Le producteur de musiques électro lance GongBox



En France, le Marché international du disque et de l'édition musicale se termine ce vendredi 8 juin au soir, à Cannes. Lestreaming, les droits d'auteur et le marché africain ont dominéles débats.En France, le Marché international du disque et de l'édition musicale se termine ce vendredi 8 juin au soir, à Cannes. Lestreaming, les droits d'auteur et le marché africain ont dominéles débats.
Pour en parler, le Midem a invité un homme qui est au coeur de tous ces enjeux :Black Coffee, le plus grand DJet producteur sud-africain.À 42 ans, Black Coffee reste leseul DJ africain à s'être produitsur la plage d'Ibiza, en Espagne, le temple de la dancemusic. Nkosinathi Maphumulo, de son vrai nom, peut mixer pendant des heures, malgré un bras paralysé à la suite d'un accident. Son cocktail : desrythmes trépidants et des voix envoutantes. « Le seul message à faire passer aux jeunes, c'est : soyezvous-même.Pour rester indépendant, Black Coffee a fondé son propre label,Soulistic.
Le DJ et producteur sud-africain n'a jamais cédé aux multinationales. «Malheureusement, depuis des décennies, l'Afrique a été victime de la colonisation, même dans les affaires. Les multinationaleseuropéennes ou américaines se créent des opportunités pour elles-mêmes, en Afrique. Ça ne profite qu'à elles. En homme d'affaires avisé, Black Coffee lancera dans quelques jours sa propre plateforme de streaming, GongBox. Deezer, Google Play, Apple Music et tout récemment Spotify ont déjà investi le marché sud-africain, qui connait une croissance à trois chiffres.
Pour en parler, le Midem a invité un homme qui est au coeur de tous ces enjeux :Black Coffee, le plus grand DJet producteur sud-africain.À 42 ans, Black Coffee reste leseul DJ africain à s'être produitsur la plage d'Ibiza, en Espagne, le temple de la dancemusic. Nkosinathi Maphumulo, de son vrai nom, peut mixer pendant des heures, malgré un bras paralysé à la suite d'un accident. Son cocktail : desrythmes trépidants et des voix envoutantes. « Le seul message à faire passer aux jeunes, c'est : soyezvous-même.Pour rester indépendant, Black Coffee a fondé son propre label,Soulistic.
Le DJ et producteur sud-africain n'a jamais cédé aux multinationales. «Malheureusement, depuis des décennies, l'Afrique a été victime de la colonisation, même dans les affaires. Les multinationaleseuropéennes ou américaines se créent des opportunités pour elles-mêmes, en Afrique. Ça ne profite qu'à elles. En homme d'affaires avisé, Black Coffee lancera dans quelques jours sa propre plateforme de streaming, GongBox. Deezer, Google Play, Apple Music et tout récemment Spotify ont déjà investi le marché sud-africain, qui connait une croissance à trois chiffres.


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