Le passage en 1ère Année moyenne, pour la prochaine rentrée scolaire, se fera pour tous les élèves scolarisés, sans exception, aussi bien pour ceux de l'ancienne formule de la 6ème année de l'école fondamentale que pour ceux de l'actuel système de la 5ème Année primaire. L'examen se déroulera le 27 mai prochain. Selon M. Labaili Ahcene, chef de service des examens et concours au niveau de la Direction de l'éducation, trois épreuves seront proposés aux écoliers. La première épreuve concernera la langue nationale et ce, de 8h à 10h30. La deuxième matière sera les mathématiques, de 10h30 à 12 h. Pour l'après-midi, les candidats composeront en langue étrangère, le français, de 15h à 16h pour les écoliers de la 6ème AF et de 15h à 16h30 pour la 5ème Année primaire. Le nombre total des candidats est de 33.959 élèves, pour les deux cursus, qui se répartissent comme suit : 20.141 candidats sont concernés par l'ancienne formule, dont 11.056 garçons et 9.085 filles. Ceux de la cinquième année primaire sont au nombre de 13.818 élèves soit 6.906 garçons et 6.912 filles. 80 centres seront prêts à accueillir les enfants de la 6ème AF et 78 pour ceux de la 5ème Année primaire. Le chef de service indique qu'un effectif de 7.500 enseignants a été mobilisé pour encadrer cet examen. Ceux des élèves de l'ancienne formule, qui n'atteindront pas la moyenne de 5 sur 10 requise, verront leurs moyennes de l'année ajoutées à celle obtenue lors de l'examen de passage en première Année moyenne. Pour la correction, deux centres sont prévus en ce sens, le lycée Ahmed Bey, pour les candidats de la 6ème AF et le lycée Malek Haddad pour ceux de la 5ème Année primaire. Pour ce qui est des CEM pour les élèves qui passeront en première Année moyenne et qui vont s'ajouter aux autres, M. Labaili affirme que toutes les dispositions ont été prises lors des séances de coordination avec les différentes autorités aussi bien locales que nationales afin que chacun des admis, dans les deux systèmes, puisse suivre ses études en toute quiétude et sans contrainte. Notre interlocuteur indiquera que le problème se pose, cependant, dans les zones à haute concentration populaire, telle que la cité Ben Chergui où il n'y a pas d'assiette pour d'éventuelles constructions scolaires. Le chef de service mentionnera aussi les cités Boussouf, Khroub centre et, à un degré moindre, la nouvelle ville Ali Mendjeli. Quoi qu'il en soit, des travaux d'extension et de réalisation de nouvelles structures sont en voie d'achèvement dans ces dites cités, souligne-t-il.
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Posté Le : 11/05/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : M Amar
Source : www.lequotidien-oran.com