Le prince héritier d'Abu Dhabi en visite en Algérie Coopération

Le numéro 2 de l'Etat des Emirats arabes unis, Cheikh Mohamed Ben Zayed Al Nahyane, commandant en chef adjoint des forces armées a entamé hier une visite de travail et de fraternité de deux jours en Algérie. La visite du prince héritier est « une occasion pour souligner la volonté des deux pays de donner une impulsion nouvelle aux relations bilatérales et de consacrer la coordination et la concertation autour des questions arabes, régionales et internationales d'intérêt commun » souligne un communiqué de la présidence de la République.
L'hôte de l'Algérie a été reçu au Palais du peuple par le président Abdelaziz Bouteflika. L'audience s'est déroulée en présence du Premier ministre Abdelmalek Sellal, du ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaizia, et du chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP), et d'Ahmed Gaid Salah. A son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene, Cheikh Mohamed Ben Zayed Al Nahyane a été accueilli par le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, en présence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Cette visite est la première du genre à ce niveau d'échanges entre les deux pays. Le prince emirati est accompagné par Khaldoun al-Moubarak, président de l'autorité exécutive , Nacer Ahmed Es-souidi, président de l'instance de la planification et de l'économie, le Dr Ahmed al-Mazrouai, président de l'instance de la Santé Abou Dhabi, Mohamed Moubarak al-Mazrouai, chef de Cabinet du prince héritier ainsi que par le général-major Fares Mohamed Ahmed al-Mazrouai, président de l'instance de l'administrtion et de l'approvisionnement.
La coopération algéro-émiratie a connu ces dernières années un bon prodigieux surtout dans le domaine économique et notamment dans les secteurs de la santé. Une commission économique entre l'Algérie et l'Emirat d'Abou-Dhabi a été du reste mise en place pour encadrer et
assurer le suivi de cette dynamique qui s'est enclenchée entre les deux pays. Cet Etat du Golfe est le 4e plus gros investisseur étranger en Algérie.
Entre 2002 et 2007, un montant
global de 1,1 milliard de dollars était enregistré auprès de l'Agence nationale de développement des investissements (Andi). Il est vrai que l'ampleur des investissements émiratis ont dû marquer le pas à cause de la crise financière internationale. Le grand projet qui allait en pâtir, a été le projet de construction par le conglomérat de l'immobilier Emaar des grands bulidings qui devaient transformer Alger. Abandonné en 2009, ce projet est suceptible, selon les émiratis, d'être réactivé « si des opportunités qui garantissent un rendement et une protection des investissements » viennent à se présenter.
Le numéro 2 de l'Etat des Emirats arabes unis, Cheikh Mohamed Ben Zayed Al Nahyane, commandant en chef adjoint des forces armées a entamé hier une visite de travail et de fraternité de deux jours en Algérie. La visite du prince héritier est « une occasion pour souligner la volonté des deux pays de donner une impulsion nouvelle aux relations bilatérales et de consacrer la coordination et la concertation autour des questions arabes, régionales et internationales d'intérêt commun » souligne un communiqué de la présidence de la République.
L'hôte de l'Algérie a été reçu au Palais du peuple par le président Abdelaziz Bouteflika. L'audience s'est déroulée en présence du Premier ministre Abdelmalek Sellal, du ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, Abdelmalek Guenaizia, et du chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP), et d'Ahmed Gaid Salah. A son arrivée à l'aéroport international Houari-Boumediene, Cheikh Mohamed Ben Zayed Al Nahyane a été accueilli par le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, en présence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. Cette visite est la première du genre à ce niveau d'échanges entre les deux pays. Le prince emirati est accompagné par Khaldoun al-Moubarak, président de l'autorité exécutive , Nacer Ahmed Es-souidi, président de l'instance de la planification et de l'économie, le Dr Ahmed al-Mazrouai, président de l'instance de la Santé Abou Dhabi, Mohamed Moubarak al-Mazrouai, chef de Cabinet du prince héritier ainsi que par le général-major Fares Mohamed Ahmed al-Mazrouai, président de l'instance de l'administrtion et de l'approvisionnement.
La coopération algéro-émiratie a connu ces dernières années un bon prodigieux surtout dans le domaine économique et notamment dans les secteurs de la santé. Une commission économique entre l'Algérie et l'Emirat d'Abou-Dhabi a été du reste mise en place pour encadrer et
assurer le suivi de cette dynamique qui s'est enclenchée entre les deux pays. Cet Etat du Golfe est le 4e plus gros investisseur étranger en Algérie.
Entre 2002 et 2007, un montant
global de 1,1 milliard de dollars était enregistré auprès de l'Agence nationale de développement des investissements (Andi). Il est vrai que l'ampleur des investissements émiratis ont dû marquer le pas à cause de la crise financière internationale. Le grand projet qui allait en pâtir, a été le projet de construction par le conglomérat de l'immobilier Emaar des grands bulidings qui devaient transformer Alger. Abandonné en 2009, ce projet est suceptible, selon les émiratis, d'être réactivé « si des opportunités qui garantissent un rendement et une protection des investissements » viennent à se présenter.