Algérie

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, semble souvent trop arrogant et sûr de lui.



Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, semble souvent trop arrogant et sûr de lui.
Cependant, contrairement à d'autres occasions, il y a ce week-end quelques justifications à sa morgue. L'investissement personnel de Netanyahu dans sa relation avec le Premier ministre grec, George Papandreou, depuis un an et demi, au cours duquel il a multiplié les liens diplomatiques avec la nation européenne en stagnation semble avoir planté le clou final dans le cercueil de la Flottille pour Ghaza.
Sangsues Le mécanisme est simple : En GB comme en Grèce ou ailleurs, toujours plus de suppressions d'emplois, toujours plus de chômage, des salaires toujours plus bas, des taxes et des impôts toujours plus élevés, les citoyens sont de plus en plus pauvres, donc l'Etat s'appauvrit, la croissance est menacée. Dans le même temps, les grandes banques prêtent toujours plus d'argent, à des taux d'intérêt usuriers, à leur profit exclusif. C'est l'endettement, de plus en plus colossal. Les Etats-Unis, paradoxalement, sont le pays le plus endetté, et ce pays fait marcher sa planche à billets. C'est un système qui repose sur du vent ! Il faut rembourser l'argent prêté, la dette : on ne peut arriver à rembourser que les INTERÊTS, pas le capital prêté ! Les intérêts sont toujours plus durs à rembourser, car il y en a toujours plus à rembourser, car il y a toujours plus de prêts. Bref, il faudra sans cesse emprunter pour rembourser les intérêts des emprunts et cela avec une population toujours plus pauvre. C'est donc impossible ! Au final, l'explosion est inévitable ! Coup de poker La Grèce vient d'avoir l'assurance qu'elle obtiendrait avant mi-juillet l'argent dont elle a un besoin urgent pour éviter la faillite dans l'immédiat, en attendant un nouveau plan de sauvetage sur lequel les discussions traînent en longueur. Le message officieux est que de nombreuses institutions bancaires viennent provisoirement d'éviter une méga tempête en inscrivant les créances grecques dans la case «passif» de leur bilan comptable. Peu importe que la Grèce n'ait absolument aucune chance de s'en sortir avec le système actuel de prêt usurier, ce qui importe est de continuer à refiler de l'argent à la Grèce afin que ce pays poursuive ses versements d'intérêts aux banques impliquées dans le grand jeu ! Tant que les intérêts tombent, on peut continuer à faire comme si' Embourbement Pourquoi donc la Grèce ne peut-elle pas s'en sortir ' Parce que le pays doit la somme faramineuse de 350 milliards d'euros. Somme qui gonfle à chaque seconde avec des intérêts' et des taux scandaleux à une époque où l'on se dit «civilisé». Tout le monde sait que ce jeu mené par le cartel bancaire s'arrêtera un jour. C'est bien la raison pour laquelle les techniciens de la haute finance travaillent secrètement sur une refonte du système monétaire international. Le secret est que l'on ignore le jour, le mois' l'année, ce n'est plus très difficile.


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