Algérie - A la une

Le pouvoir ouvre des négociations avec la rébellion Karen Birmanie


Le pouvoir ouvre des négociations avec la rébellion Karen                                    Birmanie
Le gouvernement birman a ouvert vendredi des négociations de paix avec l'Union nationale Karen (KNU) qu'il espère voir déboucher sur la fin d'un conflit vieux de plus de soixante ans.
La KNU et sa branche militaire, l'Armée Karen de libération nationale (KNLA), combattent pour une plus grande autonomie depuis 1949, l'année qui a suivi l'indépendance du pays.
Le mouvement rebelle est encouragé par les initiatives du nouveau pouvoir civil arrivé aux affaires il y a un an, après 49 ans de dictature militaire.
Un cessez-le-feu a déjà été conclu avec une douzaine d'armées ou de groupes ethniques ces derniers mois, en réponse à un appel au dialogue lancé par le président Thein Sein en août. Les négociations s'annoncent, toutefois, délicates, avec l'objectif de trouver une formule conciliant l'intégration des Karen dans les instances politiques nationales et le maintien d'une certaine forme d'autonomie. Côté gouvernemental, les discussions sont menées par le ministre des Transports ferroviaires, Aung Min, un modéré issu de l'ancienne junte au pouvoir, qui a gagné la confiance de ses interlocuteurs malgré le lourd passé de violences lié au conflit.
L'armée birmane est accusée de nombreuses violations des droits de l'Homme 'viols, travail forcé, torture, meurtres' contre les Karen et les autres minorités ethniques.
Le gouvernement birman a ouvert vendredi des négociations de paix avec l'Union nationale Karen (KNU) qu'il espère voir déboucher sur la fin d'un conflit vieux de plus de soixante ans.
La KNU et sa branche militaire, l'Armée Karen de libération nationale (KNLA), combattent pour une plus grande autonomie depuis 1949, l'année qui a suivi l'indépendance du pays.
Le mouvement rebelle est encouragé par les initiatives du nouveau pouvoir civil arrivé aux affaires il y a un an, après 49 ans de dictature militaire.
Un cessez-le-feu a déjà été conclu avec une douzaine d'armées ou de groupes ethniques ces derniers mois, en réponse à un appel au dialogue lancé par le président Thein Sein en août. Les négociations s'annoncent, toutefois, délicates, avec l'objectif de trouver une formule conciliant l'intégration des Karen dans les instances politiques nationales et le maintien d'une certaine forme d'autonomie. Côté gouvernemental, les discussions sont menées par le ministre des Transports ferroviaires, Aung Min, un modéré issu de l'ancienne junte au pouvoir, qui a gagné la confiance de ses interlocuteurs malgré le lourd passé de violences lié au conflit.
L'armée birmane est accusée de nombreuses violations des droits de l'Homme 'viols, travail forcé, torture, meurtres' contre les Karen et les autres minorités ethniques.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)