Algérie

Le pouvoir d'achat sera-t-il impacté '



La dévaluation de la monnaie nationale est un gros risque pour l'économie nationale, alertent les spécialistes économiste où l'impact sur les transactions effectuées en dollars vont engendrer des effets pervers sur l'économie algérienne.La dévaluation de la monnaie nationale est un gros risque pour l'économie nationale, alertent les spécialistes économiste où l'impact sur les transactions effectuées en dollars vont engendrer des effets pervers sur l'économie algérienne.
Le dinar algérien poursuit sa dégringolade face au dollar. Avec 134 DA pour 1 dollar, un record historique de la chute de la valeur de la monnaie nationale a été atteint. On n'exclut pas le fait que les retombées risquent d'impacter le pouvoir
d'achat des citoyens. Sur ce fait, la monnaie américaine est sur le point de battre l'euro dans les échanges monétaires avec le dinar. Le dollar s'est relevé après 10 ans de stagnation où dans sa cotation il n'a jamais dépassé les 100 à 110 DA. Aujourd'hui, c'est l'inverse qui se produit puisque le taux de change bancaire l'annonce à 1 DA pour 134 DA alors que sur le marché parallèle, il se situe entre 174 à 175 DA, avoisinant presque l'euro dans les transactions monétaires. Cette dévaluation de la monnaie nationale est un gros risque pour l'économie nationale alertent les spécialistes économiste où "l'impact sur les transactions effectuées en dollars vont engendrer des effets pervers sur l'économie algérienne". En effet, les ventes de l'Algérie de ces hydrocarbures se font en dollars de même que les achats des matières premières des principales denrées alimentaires. Il faut dire qu'à ce niveau, les prix des céréales dont le soja, riz, l'oléagineux et le sucre ont augmentés de 25 % durant ces deux derniers mois.
Ce qui va se traduire dans les prochains jours par une augmentation assez prononcée de certains produits alimentaires de transformations tels que les pâtes, riz et légumes secs qui dépendent de ces matières premières. Le seul avantage reste dans les céréales dont notamment le blé dur qui n'a pas évolué dans ces prix et dont les prix sont soutenus par l'Etat. Pour cela, le pouvoir d'achat des consommateurs risque d'en pâtir davantage étant donné que les effets pervers de cette dévaluation vont se traduire par des pénuries sur l'approvisionnement des produits alimentaires et même de certains équipements destinés à l'industrie. Le seul moyen actuel disponible dans le cadre des mesures gouvernementales annoncées est de résoudre d'abord la crise de liquidité que le ministre des Finances a promis de le régler dès le début du mois prochain. Ensuite, la reconstitution d'un matelas financier en devises dans le cadre des fonds de régulation des recettes. C'est le seul moyen, selon les différents experts, qui permettra de contrer le choc à venir.
Le dinar algérien poursuit sa dégringolade face au dollar. Avec 134 DA pour 1 dollar, un record historique de la chute de la valeur de la monnaie nationale a été atteint. On n'exclut pas le fait que les retombées risquent d'impacter le pouvoir
d'achat des citoyens. Sur ce fait, la monnaie américaine est sur le point de battre l'euro dans les échanges monétaires avec le dinar. Le dollar s'est relevé après 10 ans de stagnation où dans sa cotation il n'a jamais dépassé les 100 à 110 DA. Aujourd'hui, c'est l'inverse qui se produit puisque le taux de change bancaire l'annonce à 1 DA pour 134 DA alors que sur le marché parallèle, il se situe entre 174 à 175 DA, avoisinant presque l'euro dans les transactions monétaires. Cette dévaluation de la monnaie nationale est un gros risque pour l'économie nationale alertent les spécialistes économiste où "l'impact sur les transactions effectuées en dollars vont engendrer des effets pervers sur l'économie algérienne". En effet, les ventes de l'Algérie de ces hydrocarbures se font en dollars de même que les achats des matières premières des principales denrées alimentaires. Il faut dire qu'à ce niveau, les prix des céréales dont le soja, riz, l'oléagineux et le sucre ont augmentés de 25 % durant ces deux derniers mois.
Ce qui va se traduire dans les prochains jours par une augmentation assez prononcée de certains produits alimentaires de transformations tels que les pâtes, riz et légumes secs qui dépendent de ces matières premières. Le seul avantage reste dans les céréales dont notamment le blé dur qui n'a pas évolué dans ces prix et dont les prix sont soutenus par l'Etat. Pour cela, le pouvoir d'achat des consommateurs risque d'en pâtir davantage étant donné que les effets pervers de cette dévaluation vont se traduire par des pénuries sur l'approvisionnement des produits alimentaires et même de certains équipements destinés à l'industrie. Le seul moyen actuel disponible dans le cadre des mesures gouvernementales annoncées est de résoudre d'abord la crise de liquidité que le ministre des Finances a promis de le régler dès le début du mois prochain. Ensuite, la reconstitution d'un matelas financier en devises dans le cadre des fonds de régulation des recettes. C'est le seul moyen, selon les différents experts, qui permettra de contrer le choc à venir.


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