Algérie

Le pouvoir d'achat laminé



La hausse généralisée, qui a caractérisé les prix des fruits et légumes, ne semble toujours pas connaître de répit. Comme à l'accoutumée, le phénomène se répète au détriment d'une population qui n'a plus d'autre choix que de subir .La hausse généralisée, qui a caractérisé les prix des fruits et légumes, ne semble toujours pas connaître de répit. Comme à l'accoutumée, le phénomène se répète au détriment d'une population qui n'a plus d'autre choix que de subir .
C ?est dire que cette hausse est durement ressentie par les petites bourses. à travers certains marchés que nous avons visités, les citoyens en général ne font que caresser du regard les fruits et légumes qui sont étalés. à la moindre réclamation, les vendeurs incombent la responsabilité aux grossistes et autres fournisseurs, lesquels, disent-ils, profitent du pour nous imposer la marchandise à des prix choisis par eux, et ce, prétextant le libre-marché suivant l'offre et la demande. Le constat fut très éloquent : Le prix de la pomme de terre ne cesse de grimper pour atteindre le prix allant de 130 à 150 DA le kilogramme. En effet, ce tubercule connu pour ses vertus diététiques et réputé être l'aliment de
base de citoyen à faible revenu, a malheureusement atteint l'inimaginable. Alors que la tomate a atteint la barre des 140 DA, la courgette prend l'envol en atteignant la cote de 150 DA et les haricots à 160 DA. Quant aux fruits, il faut avoir un portefeuille bien fourni pour pouvoir y accéder. Pour ce qui est des viandes, les prix étaient carrément inabordables, pour nombre de citoyens. Le prix du poisson (frais ou congelé) faisait carrément fuir les consommateurs ! Cette situation n'est que la conséquence des pratiques « organisées » par des mains de maîtres, selon les connaisseurs. D'où l'impérative intervention du département de l'Agriculture et du Développement rural en coordination avec le ministère du Commerce afin de réguler le marché. Car, s'il incombe au ministre de l'Agriculture de garantir l'offre, son collègue du Commerce doit assurer une meilleure régulation et une lutte contre la spéculation.
Ce qui ne peut être que bénéfique pour le consommateur. Une lutte qui s'annonce sans fin, vu que l'inf rmel pousse en toute impunité au détriment de l'économie nationale. D'ailleurs, faut-il le rappeler, les contrôleurs du ministère du Commerce, appuyés par les services de sécurité, pour leur part sont instruits à intensifier les opérations de contrôle et partir à la chasse des propriétaires de stocks non déclarés, ces « intermédiaires », qui exercent en situation irrégulière et qui s'imposent comme les maillons forts de la chaîne de commercialisation. e son côté, la présidence de la République préconise de frapper fort, en criminalisant purement et simplement, les activités spéculatives. Malheureusement, jusqu'à preuve du contraire; le citoyen subit toujours le diktat des commerçants.
C ?est dire que cette hausse est durement ressentie par les petites bourses. à travers certains marchés que nous avons visités, les citoyens en général ne font que caresser du regard les fruits et légumes qui sont étalés. à la moindre réclamation, les vendeurs incombent la responsabilité aux grossistes et autres fournisseurs, lesquels, disent-ils, profitent du pour nous imposer la marchandise à des prix choisis par eux, et ce, prétextant le libre-marché suivant l'offre et la demande. Le constat fut très éloquent : Le prix de la pomme de terre ne cesse de grimper pour atteindre le prix allant de 130 à 150 DA le kilogramme. En effet, ce tubercule connu pour ses vertus diététiques et réputé être l'aliment de
base de citoyen à faible revenu, a malheureusement atteint l'inimaginable. Alors que la tomate a atteint la barre des 140 DA, la courgette prend l'envol en atteignant la cote de 150 DA et les haricots à 160 DA. Quant aux fruits, il faut avoir un portefeuille bien fourni pour pouvoir y accéder. Pour ce qui est des viandes, les prix étaient carrément inabordables, pour nombre de citoyens. Le prix du poisson (frais ou congelé) faisait carrément fuir les consommateurs ! Cette situation n'est que la conséquence des pratiques « organisées » par des mains de maîtres, selon les connaisseurs. D'où l'impérative intervention du département de l'Agriculture et du Développement rural en coordination avec le ministère du Commerce afin de réguler le marché. Car, s'il incombe au ministre de l'Agriculture de garantir l'offre, son collègue du Commerce doit assurer une meilleure régulation et une lutte contre la spéculation.
Ce qui ne peut être que bénéfique pour le consommateur. Une lutte qui s'annonce sans fin, vu que l'inf rmel pousse en toute impunité au détriment de l'économie nationale. D'ailleurs, faut-il le rappeler, les contrôleurs du ministère du Commerce, appuyés par les services de sécurité, pour leur part sont instruits à intensifier les opérations de contrôle et partir à la chasse des propriétaires de stocks non déclarés, ces « intermédiaires », qui exercent en situation irrégulière et qui s'imposent comme les maillons forts de la chaîne de commercialisation. e son côté, la présidence de la République préconise de frapper fort, en criminalisant purement et simplement, les activités spéculatives. Malheureusement, jusqu'à preuve du contraire; le citoyen subit toujours le diktat des commerçants.


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