Des prix excessivement chers constatés la semaine écoulée dans les deux marchés les plus fréquentés de la ville de Relizane. Ainsi, la pomme de terre, toujours égale à elle-même, est proposée à 60 DA à marché couverte en même temps que le chou et la carotte, le navet à 60 DA, les oignons en bottes à 70DA.Puis viennent la tomate et la courgette à 120 DA, le poivron et les haricots verts à 120 DA et les petits pois à 250 DA. Les fruits de saison sont stables, avec les oranges à 150 DA, la clémentine à 180 DA, la banane à 320 DA, la pomme Golden à 460 DA. Le poulet vivant est toujours à 350 DA au faubourg d'Oued Djemaa et sous cellophane entre 700 et 1000 DA au chef-lieu de Relizane. La sardine est proposée à 300 DA au marché d'El Graba et 360 DA au centre-ville. Le merlan plafonne à 1000 DA et la cépia à 900 DA. Du coup, les clients se contentent de l'indispensable : des pommes de terre, des oignons et de quelques poires de mauvaise qualité. Ammi Kaddour, un retraité fumera comme un volcan : «Comment va-t-on nourrir sa famille durant ce mois censé apporter un peu de Rahma et de fraternité ' Cette situation est inacceptable. A chaque approche d'un événement ou autre chose, les prix s'envolent au su et au vu des services anti- fraude et de la surveillance des prix. Ne peut-on pas agir en vue de permettre aux citoyens de jeûner dans de bonnes conditions '» En plus de la cherté des fruits et légumes, il nous a été donné l'occasion de constater que certains produits comme le lait en sachet sont quasiment indisponibles.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 18/01/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : N Malik
Source : www.lnr-dz.com