Le «portable» et les «erreurs» à des fins douteuses

Il s'est greffé systématiquement au quotidien de tous et particulièrement au monde de l'arbitrage, en prenant certains arbitres et certains de leurs «dirigeants» dans un réel engrenage, devenant de véritables otages.Les arbitres et le portable «intelligent» sont devenus inséparables et c'est un de leurs cadeaux préférés. Ce moyen de communication «perverti» a déboussolé certains arbitres et est, en grande partie, la cause de leurs prestations (à répétition) déplorables. Tout ça peut se transformer, un jour, en compromission (combien de personnes ont été confondues, après une plainte, en vérifiant l'historique des «Appels reçus» et «Appels émis» et la rubrique «Messagerie»? de leurs contacts '). Faut-il rappeler que lors d'un regroupement des arbitres de l'«élite», le patron du conclave s'est emporté à cause de l'inattention et de l'indifférence des arbitres vis-à-vis de l'étude des lois dispensée en étant «affairés» avec leur téléphone cellulaire, il a surpris les présents, y compris ceux assis à ses côtés, par cet «aveu» lourd de signification qui débouche sur l'une des raisons du «saut» vers le bas de notre arbitrage : «Si je procède à une ??descente'' inopinée sur vos portables, je trouverai les numéros de la majorité des présidents de clubs des différents paliers, avec l'historique des communications, vous savez, on sait tout !» La parfaite illustration de «qui ne dit mot, consent !» «Ils» se sont précipités sur leurs «boîte noire» pour tenter de «supprimer» les traces palpables d'une connivence établie et irréfutable. Quant aux «erreurs» à des fins douteuses, il faut d'abord «neutraliser» les intermédiaires déjà en service en mode «veille» et qui promettent aux jeunes arbitres monts et merveilles ! Voilà où est arrivée la situation avec cette «cécité-surdité» qui a permis l'éclosion de nouvelles générations qui savent le prix de tout mais ne connaissent la valeur de rien.