Algérie

Le port d'Alger en état d'alerte...


Une nouvelle campagne de cyber-espionnage menace leport d'Alger. C'est ce qu'a fait savoir le Premier ministre, ainsi que le secrétaire général du ministère des Travaux publics et des Transports, à l'Entreprise portuaire.Une nouvelle campagne de cyber-espionnage menace leport d'Alger. C'est ce qu'a fait savoir le Premier ministre, ainsi que le secrétaire général du ministère des Travaux publics et des Transports, à l'Entreprise portuaire.
ContenuDé nommée "Tempting Cedar", cette attaque internationale cible plusieurspays dont l'Algérie, selon lesite Algérie-éco."Cette campagne utilise des faux profils duréseau social Facebook, appartenant généralementà des femmes fictives pour diffuserune application informatique frauduleusedénommée kik Messenger.
Cette dernièrecontient un logiciel malveillant quipermet de collecter les données sensiblesappartenant aux personnes ciblées. Ils'agit, notamment, à celles liées à la géolocalisation,aux journaux des appels etaux photos. Une fois collectées, ces données sont envoyées aux serveurs de commandeet de contrôle (C&C). Ces dernières sont gérés par les cyber-attaquants", a indiquél'entreprise portuaire d'Alger (Epal). A l'ère du cyber-espionnage Les cyber-menaces n'ont jamais été aussigraves et pourraient entraîner dans les années à venir des dommages cataclysmiques affectant tous les secteurs, prévenaient,courant février, plusieurs experts internationaux à l'occasion d'un colloqueorganisé à Paris (France). La revue stratégique de cyber-défense française, Le Rançongiciel, évoquait dans son dernier numéro cette menace.Ainsi, Wannacry a contaminé au printemps dernier (2017) plus de 200.000 ordinateur dans le monde. Ce qui a entraînédes pannes majeures dans de grandes entrepriseset administrations dans de nombreuxpays.
Le virus NotPetya, a, de soncôté, paralysé plusieurs entreprises ayant des intérêts en Ukraine. Il s'agit, selon lesexperts, d'un avant-goût du genre d'attaquesauxquelles il faut se préparer. "Laplupart des crises intérieures ou internationaleset des conflits inter ou intra-étatiques ont désormais une dimension cyber", estiment les auteurs de la revue dans leurintroduction.Au cours de la décennie précédente, il fallait en moyenne 350 jours à un organisme our détecter la présence d'un pirate dans son système. "Aujourd'hui, nous sommes passés à 150 jours", assure ces experts. "C'est mieux... Mais c'estquand même150 jours !"
ContenuDé nommée "Tempting Cedar", cette attaque internationale cible plusieurspays dont l'Algérie, selon lesite Algérie-éco."Cette campagne utilise des faux profils duréseau social Facebook, appartenant généralementà des femmes fictives pour diffuserune application informatique frauduleusedénommée kik Messenger.
Cette dernièrecontient un logiciel malveillant quipermet de collecter les données sensiblesappartenant aux personnes ciblées. Ils'agit, notamment, à celles liées à la géolocalisation,aux journaux des appels etaux photos. Une fois collectées, ces données sont envoyées aux serveurs de commandeet de contrôle (C&C). Ces dernières sont gérés par les cyber-attaquants", a indiquél'entreprise portuaire d'Alger (Epal). A l'ère du cyber-espionnage Les cyber-menaces n'ont jamais été aussigraves et pourraient entraîner dans les années à venir des dommages cataclysmiques affectant tous les secteurs, prévenaient,courant février, plusieurs experts internationaux à l'occasion d'un colloqueorganisé à Paris (France). La revue stratégique de cyber-défense française, Le Rançongiciel, évoquait dans son dernier numéro cette menace.Ainsi, Wannacry a contaminé au printemps dernier (2017) plus de 200.000 ordinateur dans le monde. Ce qui a entraînédes pannes majeures dans de grandes entrepriseset administrations dans de nombreuxpays.
Le virus NotPetya, a, de soncôté, paralysé plusieurs entreprises ayant des intérêts en Ukraine. Il s'agit, selon lesexperts, d'un avant-goût du genre d'attaquesauxquelles il faut se préparer. "Laplupart des crises intérieures ou internationaleset des conflits inter ou intra-étatiques ont désormais une dimension cyber", estiment les auteurs de la revue dans leurintroduction.Au cours de la décennie précédente, il fallait en moyenne 350 jours à un organisme our détecter la présence d'un pirate dans son système. "Aujourd'hui, nous sommes passés à 150 jours", assure ces experts. "C'est mieux... Mais c'estquand même150 jours !"
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