Algérie

Le pays "ne veut pas la guerre", assure le commandant des pasdarans



L'Iran ne veut pas la guerre mais ne la craint pas, a assuré dimanche le commandantdes gardiens de la Révolution,alors que le ton ne cesse de monter aveclesL'Iran ne veut pas la guerre mais ne la craint pas, a assuré dimanche le commandantdes gardiens de la Révolution,alors que le ton ne cesse de monter avecles
Etats-Unis. "Nous ne cherchons pasla guerre, mais elle ne nous effraie pas(...) La différence entre eux et nous, c'est qu'ils en ont peur et n'en pas la volonté nécessaire", a ajouté le général HosseinSalami, cité par les agences de presse iraniennesFars et Tasnim. Le ministre iraniendes Affaires étrangères avait écartésamedi l'hypothèse d'un conflit armé. "Iln'y aura pas de guerre parce que nousn'en voulons pas et parce que personnen'a l'idée ni l'illusion de pouvoir affronterl'Iran dans la région", a déclaréMohammad Javad Zarif
lors d'une visite en Chine, selon des propos rapportés par l'agence Irna. Les tensions entre Washington et Téhéran sont à leur comble depuis les actes de "sabotage" qui ont visé quatre navires, le week-end dernier,au large des Emirats arabes unis.Les 5.200 soldats américains présents en Irak ont été placés en état d'alerte et ledépartement d'Etat a rappelé le lendemainune partie du personnel diplomatiqueen porte à Baghdad et à Erbil.Le 6 mai,Washington avait annoncé l'envoidu porte-avions Abraham Lincoln et de son groupe aéronaval dans la régionen évoquant des menaces iraniennes, ce que Téhéran a qualifié de "guerre psychologique".
Donald Trump a dénoncé il y a un an l'accord international sur le programmenucléaire iranien conclu à Vienne en2015, ouvrant la voie au rétablissementdes sanctions américaines levées après son entrée en vigueur. Le président des Etats-Unis fait désormais pression sur Téhéran pour le renégocier, afin de l'étendre à son programme balistique et à son influence dans la région.
Etats-Unis. "Nous ne cherchons pasla guerre, mais elle ne nous effraie pas(...) La différence entre eux et nous, c'est qu'ils en ont peur et n'en pas la volonté nécessaire", a ajouté le général HosseinSalami, cité par les agences de presse iraniennesFars et Tasnim. Le ministre iraniendes Affaires étrangères avait écartésamedi l'hypothèse d'un conflit armé. "Iln'y aura pas de guerre parce que nousn'en voulons pas et parce que personnen'a l'idée ni l'illusion de pouvoir affronterl'Iran dans la région", a déclaréMohammad Javad Zarif
lors d'une visite en Chine, selon des propos rapportés par l'agence Irna. Les tensions entre Washington et Téhéran sont à leur comble depuis les actes de "sabotage" qui ont visé quatre navires, le week-end dernier,au large des Emirats arabes unis.Les 5.200 soldats américains présents en Irak ont été placés en état d'alerte et ledépartement d'Etat a rappelé le lendemainune partie du personnel diplomatiqueen porte à Baghdad et à Erbil.Le 6 mai,Washington avait annoncé l'envoidu porte-avions Abraham Lincoln et de son groupe aéronaval dans la régionen évoquant des menaces iraniennes, ce que Téhéran a qualifié de "guerre psychologique".
Donald Trump a dénoncé il y a un an l'accord international sur le programmenucléaire iranien conclu à Vienne en2015, ouvrant la voie au rétablissementdes sanctions américaines levées après son entrée en vigueur. Le président des Etats-Unis fait désormais pression sur Téhéran pour le renégocier, afin de l'étendre à son programme balistique et à son influence dans la région.


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