Cet article analyse les politiques patrimoniales mises en place par l’état algérien pour la préservation du patrimoine architectural en général et celui hérité de l’époque coloniale française en particulier ; et souligne l’important arsenal juridique renforcé depuis 1998.
Nous tenterons à travers l’exemple de l’hôtel de ville d’Annaba, de mettre en exergue les spécificités des politiques patrimoniales et des opérations de réhabilitation du patrimoine architectural datant de l’époque coloniale française, afin d’identifier les rapports entre le jeu des acteurs locaux, les logiques opérationnelles de prise en charge de ce patrimoine, et de cerner les niveaux de défaillances dans la chaine de prise de décision et leurs impacts sur le niveau de dégradation et de méconnaissance de ce legs
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Posté Le : 28/07/2022
Posté par : einstein
Ecrit par : - Khelifa Rouaissia Sihem - Boulkroune Heddya
Source : Synthèse Volume 23, Numéro 1, Pages 63-73 2017-04-30