Algérie

Le parti de Menasra tiendra son congrès les 17 et 18 février Après avoir reçu son agrément


Le parti de Menasra tiendra son congrès les 17 et 18 février Après avoir reçu son agrément
Agréé parmi le lot des partis dits nouveaux, le Front du changement (FC), va organiser son congrès constitutif les 17 et 18 février prochains. C'est ce qu'a indiqué, hier à Alger, Abdelmadjid Menasra, l'un des membres fondateurs de ce parti. L'ex-ministre du MSP trouve que les prochaines législatives n'auraient pas de sens sans la participation des nouveaux partis. A ses yeux, l'implication de ces derniers est d'autant plus nécessaire que "la scène politique nationale reste marquée par le verrouillage et la chute de popularité des partis au pouvoir." Menasra n'a pas manqué du reste de relever la concurrence «déloyale» entre les nouveaux partis et les anciens. Selon lui, ces derniers tireraient bénéfice du soutien des medias lourds. L'orateur a toutefois reconnu que les partis nouvellement agrées «ne se sont pas bien préparés» à l'effet d'affronter l'épreuve des urnes, incriminant au passage la lenteur de la procédure relative à la promulgation des nouvelles lois organiques. Pour lui, les réformes politiques initiées par le chef de l'Etat «ont été vidées de leur substance» par les partis de l'Alliance présidentielle.
Le FC se fixe entre autres objectifs de «développer la justice sociale, la lutte contre la corruption et l'incitation à l'investissement productif». Ce parti se dit prêt à nouer alliance avec les autres formations de l'opposition et rejette tout rapprochement avec les «les partis au pouvoir» qui sont, a-t-il soutenu, «responsables de la situation actuelle». Menasra estime cependant «insuffisantes» les mesures préconisées pour assurer la régularité du prochain scrutin. Il a appelé le chef de l'Etat à fournir «des garanties plus probantes» quant à la «neutralité de l'administration et des médias publics».
Le parti du Front du changement a été autorisé dimanche, suivant un communiqué du ministère de l'Intérieur à tenir son congrès constitutif. Le parti de Menasra ne figurait pas sur une première liste des nouveaux partis autorisés à tenir leur congrès.
La raison tiendrait au fait que l'administration aurait refusé, outre quelques membres issus de l'ex-FIS, la dénomination proposée pour le parti à savoir le "Front du changement national" qui le ferait confondre avec celle du FLN en arabe. Le FC vient ainsi s'ajouter aux partis de la mouvance islamiste formée actuellement par le MSP, El-Islah, de Nahda et des nouveaux partis de Djaballah et de Mohamed Saïd.
Agréé parmi le lot des partis dits nouveaux, le Front du changement (FC), va organiser son congrès constitutif les 17 et 18 février prochains. C'est ce qu'a indiqué, hier à Alger, Abdelmadjid Menasra, l'un des membres fondateurs de ce parti. L'ex-ministre du MSP trouve que les prochaines législatives n'auraient pas de sens sans la participation des nouveaux partis. A ses yeux, l'implication de ces derniers est d'autant plus nécessaire que "la scène politique nationale reste marquée par le verrouillage et la chute de popularité des partis au pouvoir." Menasra n'a pas manqué du reste de relever la concurrence «déloyale» entre les nouveaux partis et les anciens. Selon lui, ces derniers tireraient bénéfice du soutien des medias lourds. L'orateur a toutefois reconnu que les partis nouvellement agrées «ne se sont pas bien préparés» à l'effet d'affronter l'épreuve des urnes, incriminant au passage la lenteur de la procédure relative à la promulgation des nouvelles lois organiques. Pour lui, les réformes politiques initiées par le chef de l'Etat «ont été vidées de leur substance» par les partis de l'Alliance présidentielle.
Le FC se fixe entre autres objectifs de «développer la justice sociale, la lutte contre la corruption et l'incitation à l'investissement productif». Ce parti se dit prêt à nouer alliance avec les autres formations de l'opposition et rejette tout rapprochement avec les «les partis au pouvoir» qui sont, a-t-il soutenu, «responsables de la situation actuelle». Menasra estime cependant «insuffisantes» les mesures préconisées pour assurer la régularité du prochain scrutin. Il a appelé le chef de l'Etat à fournir «des garanties plus probantes» quant à la «neutralité de l'administration et des médias publics».
Le parti du Front du changement a été autorisé dimanche, suivant un communiqué du ministère de l'Intérieur à tenir son congrès constitutif. Le parti de Menasra ne figurait pas sur une première liste des nouveaux partis autorisés à tenir leur congrès.
La raison tiendrait au fait que l'administration aurait refusé, outre quelques membres issus de l'ex-FIS, la dénomination proposée pour le parti à savoir le "Front du changement national" qui le ferait confondre avec celle du FLN en arabe. Le FC vient ainsi s'ajouter aux partis de la mouvance islamiste formée actuellement par le MSP, El-Islah, de Nahda et des nouveaux partis de Djaballah et de Mohamed Saïd.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)