Algérie

Le pape a été invité à y assister



Le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aissa, a indiqué hier, quele pape François a été officiellement invitéà assister à la cérémonie debéatificationdes moines de Tibhirine.Le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aissa, a indiqué hier, quele pape François a été officiellement invitéà assister à la cérémonie debéatificationdes moines de Tibhirine.
Et il n'a pasexclu sa présence.Le ministre, qui s'exprimait sur les ondesde la Radio nationale, a même fait état d'un projet d'une visite officielle, enAlgérie. Mohamed Aissa a affirmé également, àAlger, que la cérémonie de béatification des 19 hommes de religion chrétienne,dont les 7 moines assassinés à Tibhirine(Médéa), prévue le 8 décembre prochainà Oran, constitue une "reconnaissance religieuse"pour ces victimes, pour avoirchoisi de servir en Algérie, confrontée alors au terrorisme."Cette cérémonie est une reconnaissancereligieuse, pour rehausser au rang de Martyr, ces 19 moines qui ont choisi derester et de servir en Algérie, alors qu'il yavait le terrorisme", a déclaré le ministresur les ondes de la Radio nationale.
Il a souligné, que l'Algérie a donné, pourles besoins de cette opération, son accordet exprimé cette disponibilité à collaborer dans l'octroi de visas,l'encadrement, laprésence aux festivités et aussi, en donnant "une ampleur politique en plus del'ampleur religieuse" à cette cérémonie, relevant que "tout ce qui a été fait parl'église catholique en Algérie a été accomplien étroite collaboration avec lesAutorités algériennes". Soulignant, que cette "reconnaissance profonde", de la part del'églisecatholique,repose sur une enquête qui aura duré 5 ans,par laquelle il y a eu démonstration que ces moines "ont préféré servir en Algérie, par dévouement et dévotion".
Mohamed Aissa a indiqué, par la mêmeoccasion, que "même l'hypothèse de la visite du pap à Oran était possible à unecertaine date", mais son calendrier ne lui permit pas d'y être présent au mois dedécembre, notant que "cela n'exclut en rien la possibilité qu'il soit invité ultérieurement".Par ailleurs, le ministre a annoncé qu'une cérémonie, rendant hommage à 114imams assassinés par les terroristesdurant la décennie noire, sera organisée à l'occasion de la prochaine célébration de la fête du Mawlid ennabaoui.
A propos desviolences dont ont été victimes des imams, le ministre a indiqué qu'un amendement seraintroduit dans la révision du code pénal,pour renforcer les droits de l'imam, relevantavoir remarqué que les atteintes émanent,dans la majorité des cas, de ceuxquiont pu s'introduire par le biais d'associationsreligieuses. Faisant état de tentatives d'infiltration decourants radicaux et d'éléments subversifs, dans le cadre du renouvellement des associations religieuses, le ministre asoutenu que les agressions contre les imams,"ontbaissé depuis que la décision du gel del'opération de renouvellement des associations", rappelant que la Constitutionamendée prévoit une loi organique sur les associations.
S'agissantdu référentreligieux,le ministre a indiqué que l'Algérie a un "héritage civilisationnel basé sur le juste milieu et la modération", dénonçant "une intrusion, des tentatives et des programmesde ré-islamiser l'Algérie, eninstallantdes rites étrangers à celui que nous avons hérité", faisant état del'émergencede "maintes sectes et autres tendances islamo-politiques qui ont voulus'installer en Algérie".
Et il n'a pasexclu sa présence.Le ministre, qui s'exprimait sur les ondesde la Radio nationale, a même fait état d'un projet d'une visite officielle, enAlgérie. Mohamed Aissa a affirmé également, àAlger, que la cérémonie de béatification des 19 hommes de religion chrétienne,dont les 7 moines assassinés à Tibhirine(Médéa), prévue le 8 décembre prochainà Oran, constitue une "reconnaissance religieuse"pour ces victimes, pour avoirchoisi de servir en Algérie, confrontée alors au terrorisme."Cette cérémonie est une reconnaissancereligieuse, pour rehausser au rang de Martyr, ces 19 moines qui ont choisi derester et de servir en Algérie, alors qu'il yavait le terrorisme", a déclaré le ministresur les ondes de la Radio nationale.
Il a souligné, que l'Algérie a donné, pourles besoins de cette opération, son accordet exprimé cette disponibilité à collaborer dans l'octroi de visas,l'encadrement, laprésence aux festivités et aussi, en donnant "une ampleur politique en plus del'ampleur religieuse" à cette cérémonie, relevant que "tout ce qui a été fait parl'église catholique en Algérie a été accomplien étroite collaboration avec lesAutorités algériennes". Soulignant, que cette "reconnaissance profonde", de la part del'églisecatholique,repose sur une enquête qui aura duré 5 ans,par laquelle il y a eu démonstration que ces moines "ont préféré servir en Algérie, par dévouement et dévotion".
Mohamed Aissa a indiqué, par la mêmeoccasion, que "même l'hypothèse de la visite du pap à Oran était possible à unecertaine date", mais son calendrier ne lui permit pas d'y être présent au mois dedécembre, notant que "cela n'exclut en rien la possibilité qu'il soit invité ultérieurement".Par ailleurs, le ministre a annoncé qu'une cérémonie, rendant hommage à 114imams assassinés par les terroristesdurant la décennie noire, sera organisée à l'occasion de la prochaine célébration de la fête du Mawlid ennabaoui.
A propos desviolences dont ont été victimes des imams, le ministre a indiqué qu'un amendement seraintroduit dans la révision du code pénal,pour renforcer les droits de l'imam, relevantavoir remarqué que les atteintes émanent,dans la majorité des cas, de ceuxquiont pu s'introduire par le biais d'associationsreligieuses. Faisant état de tentatives d'infiltration decourants radicaux et d'éléments subversifs, dans le cadre du renouvellement des associations religieuses, le ministre asoutenu que les agressions contre les imams,"ontbaissé depuis que la décision du gel del'opération de renouvellement des associations", rappelant que la Constitutionamendée prévoit une loi organique sur les associations.
S'agissantdu référentreligieux,le ministre a indiqué que l'Algérie a un "héritage civilisationnel basé sur le juste milieu et la modération", dénonçant "une intrusion, des tentatives et des programmesde ré-islamiser l'Algérie, eninstallantdes rites étrangers à celui que nous avons hérité", faisant état del'émergencede "maintes sectes et autres tendances islamo-politiques qui ont voulus'installer en Algérie".


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