Algérie

Le P.-dg de Sonelgaz revient à la charge



Le P.-dg de Sonelgaz, Mohamed Arkab, est revenuencore une fois, à parler d'uneéventuelle hausse des tarifs del'électricité. Dans sadéclaration, il s'appuie sur lespropos du ministre de l'Energiequi aurait, selon lui, évoqué que ces tarifs necorrespondent pas aux véritables coûts de l'énergie.Le P.-dg de Sonelgaz, Mohamed Arkab, est revenuencore une fois, à parler d'uneéventuelle hausse des tarifs del'électricité. Dans sadéclaration, il s'appuie sur lespropos du ministre de l'Energiequi aurait, selon lui, évoqué que ces tarifs necorrespondent pas aux véritables coûts de l'énergie.
Pourquoi le premier responsable de Sonelgaz s'acharne-t-il à mettre dansson agenda, l'augmentation des tarifs del'électricité ' Ce dernier qui a profité en margedu Salon international de l'energie, a évoquéque "le gouvernement songerait à examiner lapiste d'aller vers une révision des tarifs del'électricité, à l'avenir" sans préciser lesdétails d'une telle révision. Jouant dans leregistre de la nuance, le P.-dg du groupe dit que
cette nouvelle donnée s'appuie sur lesrécentes déclarations duministre de l'energi,e Nouredine Guittouni, qui aurait dit que
"lesprix actuels de l'électricité et du gaz ne reflètentpas les véritables coûts engagés par legroupe, en matière d'approvisionnement et dedistribution de l'électricité".
PourquoiMohamed Arkab s'acharne-t-il à mettre enévidence la hausse des tarifs, alors que le gouvernementn'a jamais évoqué cette question 'Mieux encore, le Premier ministre AhmedOuyahia a nié toute volonté de son Exécutif, êller dans ce sens. Le ministre de l'energie,rappelons-le, a recadré sévèrement ce P.-dg avant la fin de l'année, sur ces déclarationsantérieures portant sur la révision des tarifs.C'est donc un niet qu'il a essuyé, en considérantque cette question n'est pas de ses prérogatives,alors que c'est le conseil du gouvernementqui doit se prononcer sur d'éventuelles hausses des tarifs énergétiques. L'éventuelle hausse des tarifs n'est donc pas à l'ordre du jour,
et ne serait pas la bienvenue dans un contexte actuel marqué par une baisse flagrante du pouvoir d'achat des ménages, et la faiblesse des revenus de larges couches citoyennes. Les autorités qui cherchent à apaiser le front social par le maintien d'une politique de subventions des prix de l'énergie, sont conscientes que le gage essentiel durant cette période de crise, est dans la stabilité sociale. Il faut signaler par ailleurs, quel'autre contradiction relevée chez le responsable du groupe Sonelgaz, est celle qui fait que l'etat a jusque-là consenti un crédit à long terme,
pour les futurs investissements de Sonelgaz et ont ainsi rassuré le ministre sur les engagements des pouvoirs publics, à répondre aux sollicitations du groupe public à mieux se porter à l'avenir. De plus, Sonelgaz est en train de recouvrer ces créances auprès des institutions et particuliers, dans unrythme mieux avancé qu'auparavant.
Pourquoi le premier responsable de Sonelgaz s'acharne-t-il à mettre dansson agenda, l'augmentation des tarifs del'électricité ' Ce dernier qui a profité en margedu Salon international de l'energie, a évoquéque "le gouvernement songerait à examiner lapiste d'aller vers une révision des tarifs del'électricité, à l'avenir" sans préciser lesdétails d'une telle révision. Jouant dans leregistre de la nuance, le P.-dg du groupe dit que
cette nouvelle donnée s'appuie sur lesrécentes déclarations duministre de l'energi,e Nouredine Guittouni, qui aurait dit que
"lesprix actuels de l'électricité et du gaz ne reflètentpas les véritables coûts engagés par legroupe, en matière d'approvisionnement et dedistribution de l'électricité".
PourquoiMohamed Arkab s'acharne-t-il à mettre enévidence la hausse des tarifs, alors que le gouvernementn'a jamais évoqué cette question 'Mieux encore, le Premier ministre AhmedOuyahia a nié toute volonté de son Exécutif, êller dans ce sens. Le ministre de l'energie,rappelons-le, a recadré sévèrement ce P.-dg avant la fin de l'année, sur ces déclarationsantérieures portant sur la révision des tarifs.C'est donc un niet qu'il a essuyé, en considérantque cette question n'est pas de ses prérogatives,alors que c'est le conseil du gouvernementqui doit se prononcer sur d'éventuelles hausses des tarifs énergétiques. L'éventuelle hausse des tarifs n'est donc pas à l'ordre du jour,
et ne serait pas la bienvenue dans un contexte actuel marqué par une baisse flagrante du pouvoir d'achat des ménages, et la faiblesse des revenus de larges couches citoyennes. Les autorités qui cherchent à apaiser le front social par le maintien d'une politique de subventions des prix de l'énergie, sont conscientes que le gage essentiel durant cette période de crise, est dans la stabilité sociale. Il faut signaler par ailleurs, quel'autre contradiction relevée chez le responsable du groupe Sonelgaz, est celle qui fait que l'etat a jusque-là consenti un crédit à long terme,
pour les futurs investissements de Sonelgaz et ont ainsi rassuré le ministre sur les engagements des pouvoirs publics, à répondre aux sollicitations du groupe public à mieux se porter à l'avenir. De plus, Sonelgaz est en train de recouvrer ces créances auprès des institutions et particuliers, dans unrythme mieux avancé qu'auparavant.


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