Algérie

Le MSP se prononcera le 27 septembre



Le mouvement de la société pour la paix (MSP) tranchera la question de sa participation à la présidentielle du 12 décembre le 27 septembre, au cours d'une réunion extraordinaire de son madjliss echoura, selon un communiqué du bureau national du parti rendu public hier.Le mouvement de la société pour la paix (MSP) tranchera la question de sa participation à la présidentielle du 12 décembre le 27 septembre, au cours d'une réunion extraordinaire de son madjliss echoura, selon un communiqué du bureau national du parti rendu public hier.
"L'élection présidentielle est un passage obligé pour assurer l'avenir de la liberté et de la démocratie, mais à l'inverse il ne s'agit pas d'une simple formalité pour calmer les symptômes de la crise qui nécessite un traitement de fond", est-il souligné dans le communiqué. En conséquence, le MSP appelle à "la réunion des conditions politiques nécessaires pour conférer au scrutin une légitimité nécessaire", dont le départ du gouvernement et le respect des libertés médiatiques. Un "troisième échec à organiser une présidentielle ferait très mal au pays", affirme encore le MSP qui met aussi en garde contre un président dont la "légitimité serait mise en doute.
Ce qui va contribuer à isoler les institutions de l'Etat qui sera dès lors incapable de faire face aux défis politiques, économiques et sociaux auxquels le pays sera confronté". Le MSP dénonce par ailleurs les arrestations ayant ciblé ces derniers jours les animateurs du Hirak, les qualifiant d'"erreurs politiques graves, en contradiction avec l'exigence de l'apaisement du climat pour l'organisation d'un présidentielle dans un climat serein". Tout en rappelant au pouvoir le devoir de "respecter le point de vue contraire à sa vision" le MSP souhaite la poursuite du Hirak comme "garantie pour une transition démocratique et le respect de la volonté populaire". Et de conclure enfin son communiqué en insistant sur le "caractère pacifique du Hirak et la nécessité de lui épargner les querelles idéologiques, qui pourraient le fragiliser".
"L'élection présidentielle est un passage obligé pour assurer l'avenir de la liberté et de la démocratie, mais à l'inverse il ne s'agit pas d'une simple formalité pour calmer les symptômes de la crise qui nécessite un traitement de fond", est-il souligné dans le communiqué. En conséquence, le MSP appelle à "la réunion des conditions politiques nécessaires pour conférer au scrutin une légitimité nécessaire", dont le départ du gouvernement et le respect des libertés médiatiques. Un "troisième échec à organiser une présidentielle ferait très mal au pays", affirme encore le MSP qui met aussi en garde contre un président dont la "légitimité serait mise en doute.
Ce qui va contribuer à isoler les institutions de l'Etat qui sera dès lors incapable de faire face aux défis politiques, économiques et sociaux auxquels le pays sera confronté". Le MSP dénonce par ailleurs les arrestations ayant ciblé ces derniers jours les animateurs du Hirak, les qualifiant d'"erreurs politiques graves, en contradiction avec l'exigence de l'apaisement du climat pour l'organisation d'un présidentielle dans un climat serein". Tout en rappelant au pouvoir le devoir de "respecter le point de vue contraire à sa vision" le MSP souhaite la poursuite du Hirak comme "garantie pour une transition démocratique et le respect de la volonté populaire". Et de conclure enfin son communiqué en insistant sur le "caractère pacifique du Hirak et la nécessité de lui épargner les querelles idéologiques, qui pourraient le fragiliser".


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