Algérie

Le MSP accuse



Le MSP accuse
Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) se fait l'avocat des partis non agréés. Il a en effet pris ouvertement leur défense.Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) se fait l'avocat des partis non agréés. Il a en effet pris ouvertement leur défense.Ainsi avant-hier jeudi un groupe des partis non encore agréés par les autorités a rencontré le député et membre du bureau national, Naseredine Hamdadoche. Ces partis, selon le communiqué rendu public par le MSP, "souffrent de la bureaucratie et de la marginalisation" malgré le fait d'avoir souscrit aux obligations énoncées par la loi sur les partis politiques qui a été promulgué dans le cadre des réformes politiques de 2012.Ces partis politiques ont eu déjà à rencontrer le président du MSP, Abderrazak Makri, le 7 octobre dernier. Cette rencontre entre certainement dans le cadre de la sensibilisation des partis politiques agréés afin de les soutenir "politiquement et médiatiquement et au niveau du Parlement". Le MSP s'est engagé, en cette occasion, à soutenir la cause de ces formations politiques qui, comme elles le soulignent, ne "comprennent pas l'attitude des autorités qui s'obstinent à refuser de leur octroyer l'agrément alors qu'elles ont remplies toutes les obligations juridiques et réglementaires".Pour le MSP la défense de ces partis "relève d'une question de principe et d'éthique qui entre dans le cadre de la défense des libertés et des droits de l'Homme, dont les droits politiques". Le MSP, qui rappelle en la circonstance les dispositions de l'article 42 de la Constitution qui reconnait le droit aux citoyens de constituer des partis politiques, dénonce vigoureusement "ces pratiques illégales et la politique des deux poids deux mesures contraire aux droits complets à la citoyenneté".Cette attitude est considérée comme "arbitraire et elle est passible de poursuites judicaires selon l'artiche 22 de la loi fondamentale". le communiqué du MSP, rendu public sur son site internet, tire par conséquent à boulets rouges sur le pouvoir en estimant que ces pratiques viennent s'ajouter à son palmarès déjà très peu reluisant.Ce "d'autant que ces pratiques sont loin d'être d'ordre réglementaire comme cela est avancé par les autorités, mais relèvent exclusivement de l'abus de pouvoir". Par conséquent le MSP estime que ces "pratiques du pouvoir ternissent l'image de marque du pays en matière de liberté des droits de l'Homme, ce qui l'expose au chantage et aux interventions etrangères".De plus, estime encore ce mouvement islamiste, cette "attitude, outre le fait qu'elle affaiblit le front intérieur, constitue un cinglant démenti à propos de la prétendue volonté de favoriser une entente nationale puisqu'elle exclut une partie de la classe politique de toute existence légale". "Ce genre de pratiques est une atteinte à la Constitution" estime le MSP en précisant que ces pratiques favorisent le désordre et la loi du talion."Au profit de quelle partie agit le ministère de l'Intérieur '" s'interroge le mouvement en estimant que "ces pratiques sont contraires à l'Etat civil". Rappelons que de nombreux partis politiques, dont certains ont tenu des congrès constitutifs et ont souscrit à toutes les obligation légales, ont déposé des demandes d'agrément au niveau du ministère de l'Intérieur, mais n'ont obtenu aucune réponse. Une situation qui dure depuis des années pour certain d'entre eux.Ainsi avant-hier jeudi un groupe des partis non encore agréés par les autorités a rencontré le député et membre du bureau national, Naseredine Hamdadoche. Ces partis, selon le communiqué rendu public par le MSP, "souffrent de la bureaucratie et de la marginalisation" malgré le fait d'avoir souscrit aux obligations énoncées par la loi sur les partis politiques qui a été promulgué dans le cadre des réformes politiques de 2012.Ces partis politiques ont eu déjà à rencontrer le président du MSP, Abderrazak Makri, le 7 octobre dernier. Cette rencontre entre certainement dans le cadre de la sensibilisation des partis politiques agréés afin de les soutenir "politiquement et médiatiquement et au niveau du Parlement". Le MSP s'est engagé, en cette occasion, à soutenir la cause de ces formations politiques qui, comme elles le soulignent, ne "comprennent pas l'attitude des autorités qui s'obstinent à refuser de leur octroyer l'agrément alors qu'elles ont remplies toutes les obligations juridiques et réglementaires".Pour le MSP la défense de ces partis "relève d'une question de principe et d'éthique qui entre dans le cadre de la défense des libertés et des droits de l'Homme, dont les droits politiques". Le MSP, qui rappelle en la circonstance les dispositions de l'article 42 de la Constitution qui reconnait le droit aux citoyens de constituer des partis politiques, dénonce vigoureusement "ces pratiques illégales et la politique des deux poids deux mesures contraire aux droits complets à la citoyenneté".Cette attitude est considérée comme "arbitraire et elle est passible de poursuites judicaires selon l'artiche 22 de la loi fondamentale". le communiqué du MSP, rendu public sur son site internet, tire par conséquent à boulets rouges sur le pouvoir en estimant que ces pratiques viennent s'ajouter à son palmarès déjà très peu reluisant.Ce "d'autant que ces pratiques sont loin d'être d'ordre réglementaire comme cela est avancé par les autorités, mais relèvent exclusivement de l'abus de pouvoir". Par conséquent le MSP estime que ces "pratiques du pouvoir ternissent l'image de marque du pays en matière de liberté des droits de l'Homme, ce qui l'expose au chantage et aux interventions etrangères".De plus, estime encore ce mouvement islamiste, cette "attitude, outre le fait qu'elle affaiblit le front intérieur, constitue un cinglant démenti à propos de la prétendue volonté de favoriser une entente nationale puisqu'elle exclut une partie de la classe politique de toute existence légale". "Ce genre de pratiques est une atteinte à la Constitution" estime le MSP en précisant que ces pratiques favorisent le désordre et la loi du talion."Au profit de quelle partie agit le ministère de l'Intérieur '" s'interroge le mouvement en estimant que "ces pratiques sont contraires à l'Etat civil". Rappelons que de nombreux partis politiques, dont certains ont tenu des congrès constitutifs et ont souscrit à toutes les obligation légales, ont déposé des demandes d'agrément au niveau du ministère de l'Intérieur, mais n'ont obtenu aucune réponse. Une situation qui dure depuis des années pour certain d'entre eux.




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