En l'absence du président de la République, le mouvement des chefs de cour, présidents de cour et procureurs généraux ne peut être valide. Il est tributaire de la signature du premier magistrat du pays. Le mouvement dans les rangs de la magistrature est, quant à lui, fin prêt, puisque la commission à laquelle il a été confié a rendu son rapport au début de cette semaine. Quelque 800 juges sont concernés.
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Posté Le : 18/06/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Salima Tlemçani
Source : www.elwatan.com