Algérie

Le ministère des Affaires religieuses mobilise ses troupes



Le ministère des Affaires religieuses mobilise ses troupes
Le département de Mohamed Aïssa compte mettre le paquet pour sensibiliser les Algériens sur l'unité nationale. Pour le ministère, les enjeux de la sécurité nationale sont cruciaux face aux menaces de déstabilisation.Le département de Mohamed Aïssa compte mettre le paquet pour sensibiliser les Algériens sur l'unité nationale. Pour le ministère, les enjeux de la sécurité nationale sont cruciaux face aux menaces de déstabilisation.Mohamed Aissa a ainsi exhorté les imams à défendre les principes de l'unité nationale dans leurs prêches du vendredi. Ces derniers doivent se mettre en rangs serrés dans leurs sermons aux fidèles quant à l'intransigeance concernant l'unité du pays.C'est sur crainte des menaces face à la récurrence du terrorisme que le ministère prévoit de sensibiliser au maximum les Algériens sur les "méfaits de l'idéologie du djihadisme qui n'av aucun lien avec les valeurs de l'Islam". L'instruction donne le feu vert aux prêcheurs afin de "mettre en valeur les constantes de la nation et d'expliquer les valeurs de tolérance et d'ouverture de la religion islamique".De plus, le ministère ne compte pas s'arrêter là puisqu'il compte organiser, dans les prochains jours, des séminaires ouverts au public animés par de grands théologiens, des penseurs philosophes, des universitaires qui seront relayés médiatiquement lors de chaque évènement. Déjà avec la création de l'Institut national de la fetwa, le ministère veut ratisser large par des campagnes explicatives.Les imams sont tenus de dénoncer les "fetwas djihadistes" et de mettre à nu "les tentatives de certains cercles idéologiques radicaux qui tentent de regagner du terrain". Cette semaine d'ailleurs, la ville de Béjaïa a vu se redéployer un groupe salafiste venant de plusieurs localités qui a tenté de prêcher son discours radical dans la rue. Mais les citoyens alertés et les militants des droits de l'Homme ont fait pression sur les autorités pour chasser les intrus.Pari gagné pour le moment mais ce qui reste à faire ne relève pas du simple discours politique. Les zaouïas à leur tour se mobilisent pour contrer les tenants de la doctrine extrémiste où des déplacements sont prévus au sud du pays. Le département de Mohamed Aïssa compte également revoir les méthodes d'enseignement des écoles coraniques en leur conférant un statut en référence à la doctrine malékite, rite officiel de l'Islam en Algérie.Le ministre avait alerté récemment sur la doctrine dangereuse que véhiculent ces cercles radicaux. Selon lui, ces groupes considèrent "l'apostasie des régimes au pouvoir, des assemblées élues tout en sapant le moral de la société par la dissimulation des réalisations enregistrées aux plans politique, économique et social", en précisant que l'Algérie "a souffert seule pendant de longues années des affres du terrorisme pratiqué par des ignorants".Et pour mieux appréhender les dangers du terrorisme mené par les groupes radicaux, dont Daech et consorts, le ministère des Affaires religieuses appellent les Algériens à "soutenir le moral des troupes de l'ANP qui veillent à la sécurité de nos frontières" grâce aux derniers dispositifs de renforcement de toute la frontière avec la Libye.Sur le front externe, les autorités tentent également de mieux contribuer à la guerre contre le djihadisme qui a pris une propension à l'international. Il faut rappeler qu'une délégation de théologiens émérites a été envoyée en France pour prêter main forte aux imams algériens officiant dans les mosquées françaises où le but serait de sensibiliser les Algériens sur les méfaits de l'extrémisme.Mohamed Aissa a ainsi exhorté les imams à défendre les principes de l'unité nationale dans leurs prêches du vendredi. Ces derniers doivent se mettre en rangs serrés dans leurs sermons aux fidèles quant à l'intransigeance concernant l'unité du pays.C'est sur crainte des menaces face à la récurrence du terrorisme que le ministère prévoit de sensibiliser au maximum les Algériens sur les "méfaits de l'idéologie du djihadisme qui n'av aucun lien avec les valeurs de l'Islam". L'instruction donne le feu vert aux prêcheurs afin de "mettre en valeur les constantes de la nation et d'expliquer les valeurs de tolérance et d'ouverture de la religion islamique".De plus, le ministère ne compte pas s'arrêter là puisqu'il compte organiser, dans les prochains jours, des séminaires ouverts au public animés par de grands théologiens, des penseurs philosophes, des universitaires qui seront relayés médiatiquement lors de chaque évènement. Déjà avec la création de l'Institut national de la fetwa, le ministère veut ratisser large par des campagnes explicatives.Les imams sont tenus de dénoncer les "fetwas djihadistes" et de mettre à nu "les tentatives de certains cercles idéologiques radicaux qui tentent de regagner du terrain". Cette semaine d'ailleurs, la ville de Béjaïa a vu se redéployer un groupe salafiste venant de plusieurs localités qui a tenté de prêcher son discours radical dans la rue. Mais les citoyens alertés et les militants des droits de l'Homme ont fait pression sur les autorités pour chasser les intrus.Pari gagné pour le moment mais ce qui reste à faire ne relève pas du simple discours politique. Les zaouïas à leur tour se mobilisent pour contrer les tenants de la doctrine extrémiste où des déplacements sont prévus au sud du pays. Le département de Mohamed Aïssa compte également revoir les méthodes d'enseignement des écoles coraniques en leur conférant un statut en référence à la doctrine malékite, rite officiel de l'Islam en Algérie.Le ministre avait alerté récemment sur la doctrine dangereuse que véhiculent ces cercles radicaux. Selon lui, ces groupes considèrent "l'apostasie des régimes au pouvoir, des assemblées élues tout en sapant le moral de la société par la dissimulation des réalisations enregistrées aux plans politique, économique et social", en précisant que l'Algérie "a souffert seule pendant de longues années des affres du terrorisme pratiqué par des ignorants".Et pour mieux appréhender les dangers du terrorisme mené par les groupes radicaux, dont Daech et consorts, le ministère des Affaires religieuses appellent les Algériens à "soutenir le moral des troupes de l'ANP qui veillent à la sécurité de nos frontières" grâce aux derniers dispositifs de renforcement de toute la frontière avec la Libye.Sur le front externe, les autorités tentent également de mieux contribuer à la guerre contre le djihadisme qui a pris une propension à l'international. Il faut rappeler qu'une délégation de théologiens émérites a été envoyée en France pour prêter main forte aux imams algériens officiant dans les mosquées françaises où le but serait de sensibiliser les Algériens sur les méfaits de l'extrémisme.




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