Algérie

Le médicament non concerné


Le médicament non concerné
Le médicament ne sera pas touché par la hausse des prix. C'est ce qu'affirme le président des industriels en pharmacie, Abdelouahed Kerrar. Par contre les équipements médicaux connaîtront une augmentation de leurs prixLe médicament ne sera pas touché par la hausse des prix. C'est ce qu'affirme le président des industriels en pharmacie, Abdelouahed Kerrar. Par contre les équipements médicaux connaîtront une augmentation de leurs prixLe médicament sera épargné de toute tendance à la hausse des prix. Le secteur qui est marqué par un retour en force de l'industrie nationale est plutôt dans la tendance de stabilité de ces prix.Le président de l'Unop indique que " les médicaments ne seront pas soumis aux taxes y compris les matières premières". Il en ressort logiquement que les prix conserveront un statu quo sur les tarifs. Les industriels auront donc à gagner la bataille de la production et la disponibilité des produits qui ont connu l'année dernière des ruptures de stock surtout pour les médicaments réservés aux malades chroniques.Les prix selon l'Unop sont généralement affectés par la hausse des matières premières à l'international et de ce fait "le médicament est à chaque fois révisé dans les marges". Les producteurs algériens qui se mettent dans l'industrie du générique sont actuellement soutenus par l'Etat.Le ministre de la Santé a réitéré que "la production locale sera aidée en matière d'enregistrement, d'approvisionnement et de vente". Les investisseurs sont donc inscrits automatiquement dans le régime particulier où peuvent bénéficier d'une exonération fiscale pour une durée déterminée. Cette réglementation ne s'applique pas aux importateurs qui doivent payer toutes les taxes.Le gouvernement a donc supprimé les taxes de TVA sur le médicament sauf pour les produits parapharmaceutiques et les équipements médicaux et les accessoires. Ces derniers seront soumis à la TVAde 2 % telle qu'a été stipulée dans la loi de finances de 2017. Ainsi tous les compléments alimentaires, les produits d'hygiène corporels, les lotions et gels qui entrent dans la catégorie de "bien-être" seront taxés.Cependant, si les investisseurs en parapharmacie décident de produire localement, ils bénéficieront à leur tour d'une baisse fiscale notamment sur l'assiette foncière, la TVA et l'IBS. Les opérateurs à leur tour qui ont investi dans le créneau du médicament générique exhortent les pouvoirs publics à les exonérer de la TAP (taxe sur l'activité professionnelle) qu'ils estiment que "c'est un impôt de trop".Ils considèrent que le secteur devient de plus en plus concurrentiel face aux tenants de l'importation. Mais cette fois, le gouvernement a fléchi pour mieux lotir les producteurs locaux surtout après avoir constaté une nette évolution du secteur qui couvre actuellement plus de 50 % du marché. L'objectif à terme est de satisfaire les besoins nationaux à près de 70 %.Le médicament sera épargné de toute tendance à la hausse des prix. Le secteur qui est marqué par un retour en force de l'industrie nationale est plutôt dans la tendance de stabilité de ces prix.Le président de l'Unop indique que " les médicaments ne seront pas soumis aux taxes y compris les matières premières". Il en ressort logiquement que les prix conserveront un statu quo sur les tarifs. Les industriels auront donc à gagner la bataille de la production et la disponibilité des produits qui ont connu l'année dernière des ruptures de stock surtout pour les médicaments réservés aux malades chroniques.Les prix selon l'Unop sont généralement affectés par la hausse des matières premières à l'international et de ce fait "le médicament est à chaque fois révisé dans les marges". Les producteurs algériens qui se mettent dans l'industrie du générique sont actuellement soutenus par l'Etat.Le ministre de la Santé a réitéré que "la production locale sera aidée en matière d'enregistrement, d'approvisionnement et de vente". Les investisseurs sont donc inscrits automatiquement dans le régime particulier où peuvent bénéficier d'une exonération fiscale pour une durée déterminée. Cette réglementation ne s'applique pas aux importateurs qui doivent payer toutes les taxes.Le gouvernement a donc supprimé les taxes de TVA sur le médicament sauf pour les produits parapharmaceutiques et les équipements médicaux et les accessoires. Ces derniers seront soumis à la TVAde 2 % telle qu'a été stipulée dans la loi de finances de 2017. Ainsi tous les compléments alimentaires, les produits d'hygiène corporels, les lotions et gels qui entrent dans la catégorie de "bien-être" seront taxés.Cependant, si les investisseurs en parapharmacie décident de produire localement, ils bénéficieront à leur tour d'une baisse fiscale notamment sur l'assiette foncière, la TVA et l'IBS. Les opérateurs à leur tour qui ont investi dans le créneau du médicament générique exhortent les pouvoirs publics à les exonérer de la TAP (taxe sur l'activité professionnelle) qu'ils estiment que "c'est un impôt de trop".Ils considèrent que le secteur devient de plus en plus concurrentiel face aux tenants de l'importation. Mais cette fois, le gouvernement a fléchi pour mieux lotir les producteurs locaux surtout après avoir constaté une nette évolution du secteur qui couvre actuellement plus de 50 % du marché. L'objectif à terme est de satisfaire les besoins nationaux à près de 70 %.
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